HYPERSCIENCE

 

Vie, Chimie, Electricité, Lumière, etc...

 


Quelques conséquences Physique de l'atome magnétique unitaire Hatémien


 

DISCUSSION SUR QUELQUES PHÉNOMÈNES
MAL EXPLIQUES par la Physique,
A LA LUMIÈRE DE L'HYPERSCIENCE.
par Léon Raoul HATEM.

I - RADIOACTIVITÉ ET ELECTRICITÉ

 

II - LA LUMIÈRE

 

III - LES FLUIDES ET LA VIE

I - RADIOACTIVITÉ ET ELECTRICITÉ

 

LA RADIOACTIVITÉ, comme l'électricité etc., 

NE S'EXPLIQUENT QU'AVEC L'ATOME MAGNÉTIQUE (ou unitaire)

 

Quelles que soient les tentatives d'explications données par les spécialistes, la radioactivité demeure très mystérieuse dans sa nature profonde ; pourtant elle est reconnue, mesurée, utilisée en diverses circonstances.

 

On sait toutefois que c'est souvent une "onde" de fréquence parfois néfaste par son "activité" sur l'organisme, et on en connaît superficiellement les limites. Mais tous les corps produisent de telles ondes, du simple fait qu'ils sont constitués d'atomes eux-mêmes formés de particules bipolaires en rotation sur elles-mêmes. Notre corps aussi est radioactif, et c'est pourquoi, dans les limites de certaines fréquences, cela n'est pas forcément dangereux.

 

La science ne peut qu'ignorer la nature de la radioactivité, puisque depuis un siècle, l'atome est décrit comme formé de particules isolément chargées d'"électricité positive" ou "négative", ce qui, on l'a dit, est une erreur : il est absolument impossible de séparer les deux polarités de quoi que ce soit. De tels atomes n'ont d'ailleurs aucune raison d'émettre quelque onde que ce soit, ils ne le pourraient pas.

 

Au contraire, les particules étant toutes des aimants complets, s'attirant ET se repoussant mutuellement avec la même force, lorsque l'une d'elles tourne sur son axe passant par son centre de gravité, et à la condition que l'axe des pôles soit décalé par rapport à l'axe de rotation (ce qui est toujours le cas, tous les autres chutant nécessairement sur les noyaux), elle engendre une "onde" alternativement NORD et SUD qui se propage à distance dans toutes les directions.

 

Dans l'atome magnétique, les "masses" s'entraînent mutuellement en rotations synchronisées et symétriques de leurs pôles, et en translations orbitales, grâce à cette double polarité (sinon, il n'y a aucun mouvement durable possible). Elles ne peuvent pas échapper à ces mouvements qui s'expliquent très aisément, et si d'aventure les circonstances les en empêchent, elles chutent l'une sur l'autre, ou au contraire s'éloignent, indifférentes du fait de rotations qui ne sont plus synchronisées.

 

Dans un atome, le noyau central a la même fréquence que ses satellites ("électrons"), ce qui est automatique et inévitable (des expériences le prouvent), allant à la même vitesse de rotation. C'est ce synchronisme symétrique inévitable qui leur permet de s'attirer en toutes positions relatives comme si la REPULSION était inexistante, ou inopérante (des expériences le prouvent également).

 

C'est ce qui a induit les physiciens en erreur, qui ne croient qu'à l'attraction entre noyau et électrons. Ainsi, Bohr a-t-il pu inventer un atome purement attractif entre masses de "charge opposée", et Newton croire à la gravitation entre masses planétaires.

Lorsque l'on étudie de près les relations magnétiques en présence, on comprend que l'atome se campe ainsi dans une fréquence qui lui est propre et définitive, avec une cohésion quasiment indestructible et des vitesses auto-régulées.

 

Mais nous savons aussi que l'adjonction d'énergie produit une "activation" des mouvements, qui, sans modifier les particularités intrinsèques de l'atome, peut le modifier en éloignant les électrons du noyau.

 

C'est en général ce qui se produit. Mais dans le cas de corps très compacts et denses, la matière se dilate très faiblement et maintient les vitesses de rotation pratiquement constantes, et ce sont les mouvements orbitaux qui se trouvent le plus accélérés, mais sans modification sensible des distances de ces orbites. Les électrons, retenus avec plus de force et en même temps expulsés avec plus de violence durcissent le rayonnement. C'est là l'une des causes de la radioactivité. Les atomes anormalement agités déversent vers l'extérieur d'importantes quantités d'énergie, qui provoquent à leur tour des perturbations importantes dans l'équilibre atomique des corps à l'entour.

 

Les éléments naturellement radioactifs, genre radium, le sont du fait du nombre particulièrement élevé de leurs électrons, qui rendent plus difficile le maintien d'un équilibre interne de l'atome. Plus les particules satellites sont nombreuses, plus elles se perturbent mutuellement. Et le synchronisme subit des irrégularités. Cela est accentué par la proximité des électrons entre eux, qui rend plus violentes leurs relations magnétiques. Répartissant son énergie entre un nombre trop grand d'électrons, le noyau maintien vis-à-vis d'eux des distances moindres que dans les atomes stables. Les relations magnétiques entre électrons et noyau sont donc elles aussi plus violentes, et les rotations plus rapides. De ce fait, certains atomes peuvent atteindre des fréquences lumineuses appartenant au spectre visible.

 

Ces fréquences peuvent même atteindre la gamme des rayons X ou plus encore, si le nombre des électrons est tel que leurs distances avec le noyau sont particulièrement réduites. La stabilité d'un atome se trouve ainsi en raison inverse du nombre de particules entre lesquelles le noyau doit répartir son énergie pour maintenir la cohésion de l'ensemble, et des électrons peuvent ainsi s'échapper.

 

Cela permet aussi de comprendre pourquoi les onde hertziennes, très courtes, passent facilement au travers d'écrans de forte épaisseur (fréquences incompatibles), alors que des ondes très longues seront souvent perturbées ou arrêtées par des écrans légers. Rien dans la Physique quantique ne permet d'expliquer ces diverses catégories d'ondes simplement attribuées selon l'observation à des sources atomiques différentes. C'est bien normal dans la mesure où la croyance en des particules dotées d'une seule polarité empêche d'expliquer même la genèse d'une onde, quelle qu'elle soit.

 

SIMILITUDE ENTRE ELECTRICITÉ , MAGNÉTISME, LUMIÈRE,

ELECTRICITÉ STATIQUE, GRAVITATION etc.

 

Quel rapport existe-t-il entre ces divers phénomènes qui donnent des effets extrêmement différents ?

 

Pourquoi un aimant attire-t-il un morceau de fer, et pourquoi pas un morceau de bois ou de verre ?

 

Pourquoi l'électricité crée-t-elle un champ magnétique qui attire un morceau de fer, et par un morceau de bois ou de verre ?

 

Sur ces seuls critères, il est déjà remarquable que le magnétisme et l'électricité aient les mêmes particularités : transformer le fer en aimant, et pas les autres corps... et de même, transformer un morceau d'acier en aimant permanent ou de longue durée après l'intervention de l'aimant ou de l'électricité, soit par simple contact, soit par influence à distance proche.

 

Cette similitude à ce niveau montre que la nature du champ magnétique et celle du champ électrique sont parfaitement semblables.

 

Par ailleurs, champ magnétique et électricité engendrent des phénomènes dualistes, attractifs et répulsifs, l'un comme l'autre. C'est là une concordance également remarquable qui confirme cette similitude.

 

Que reste-t-il néanmoins qui les différencie ? Les effets dans certaines circonstances particulières.

 

Car en fait, si, avec l'électricité on crée des phénomènes qu'on ne peut attribuer au seul champ magnétique, on peut cependant constater que si l'on peut créer un champ magnétique avec l'électricité, on peut également créer de l'électricité avec un champ magnétique (aimant), ce qui les rend équivalents dans leurs propriétés.

 

Lequel des deux passe avant l'autre ? Lequel précède l'autre ? Lequel est à l'origine de l'autre ? Car on ne peut les isoler totalement.

 

MAXWELL (1823) parle d'électro-magnétisme en raison justement de leurs effets similaires, mais il sépare le magnétisme d'une part, pour ses effets particuliers, de l'électricité pour les siens propres, et qui sont souvent très différents. Alors ont-ils la même nature ? A quel niveau se distingue-t-elle ?

 

Pour notre part, c'est évidemment le magnétisme, champ originel de l'esprit dualiste issu de la Nécessité du Néant, qui serait le fondement de ce que nous nommons l'électricité, et non l'inverse, tenant compte de leur nature attractive et répulsive, Electricité qui, elle, est un comportement particulier du champ magnétique dans ses effets, et qui peut rendre à son tour l'effet attractif-répulsif dont elle est constituée, alors que le champ magnétique se justifie sans faire appel à l'électricité.

 

Si l'on peut aimanter par magnétisme ou par électricité un morceau de fer ou d'acier, on n'aimante pas, du moins de façon évidente, un morceau de bois ou de verre. Il faut considérer non plus la structure-même du corps en question, mais son état propre de STABILITÉ au plan atomique. 

 

Car en fait, deux morceaux de fer ou d'acier non aimantés ne s'attirent pas de façon évidente, de même que deux objets d'une autre matière.

Les atomes qui constituent tous ces corps sont plus ou moins stables dans une certaine perfection, et c'est là justement que le problème peut trouver sa solution.

 

Car un atome parfaitement stable dans tous ses mouvements est également parfaitement stable dans toutes ses relations magnétiques et énergétiques de tous ordres entre toutes les particules qui le constituent. De ce fait, en raison même de cette perfection, l'atome "consomme" toutes ces énergies dans ces relations mutuelles, et ne disperse pratiquement aucune autre énergie hors de lui-même. Il fonctionne donc en circuit fermé (court-circuit).

 

Le champ magnétique ne forme alors qu'une sorte d'aura autour de l'atome, mais qui se limite à faible distance à la manière d'une enveloppe de faible épaisseur, du fait même de ce court-circuitage parfait, image naturelle la plus proche de l'Absolu.

 

Dans un corps tel que le bois, le verre ou autre, et particulièrement sous le règne minéral, cette unité étant réalisée par une perfection mécanique et énergétique de leurs atomes en court-circuit, il ne peut y avoir une réelle attirance envers les atomes d'un autre corps, même lorsqu'il est de même nature ; par contre, à l'intérieur-même de ce corps, les atomes étant normalement synchronisés dans leurs mouvements polaires, c'est tout l'ensemble du corps qui est doté de cette perfection par des interactions mutuelles de tous les atomes qui le constituent.

 

C'est alors le corps tout entier qui limite son aura à très faible distance comme une enveloppe hermétique interdisant toute relation avec les autres corps, même de structure semblable, et qu'ils ne peuvent pas plus s'attirer à la suite d'une rupture d'un même corps.

 

Au niveau des aimants permanents, le problème est quelque peu différent : un morceau de fer ne conserve pas l'aimantation qui lui est apportée par un courant électrique ou par un aimant, car il retrouve aussitôt la perfection de sa stabilité atomique, dès que l'action cesse ; mais dans un morceau d'acier, par contre, quelque chose se passe qui maintient cette excitation après la coupure du courant ou l'éloignement à grande distance de l'aimant. 

 

C'est que dans un acier composé de divers éléments tels le carbone ou autre, la stabilité ne retrouve pas aussitôt la perfection désirée, ce qui perpétue l'excitation des atomes durant quelquefois de très longues périodes, et que donc, l'aura magnétique s'étend très au-delà, transformant l'acier en aimant permanent comportant une double polarité NORD-SUD, quand bien même le morceau d'acier n'était mis en présence que d'une seule polarité NORD ou SUD indifféremment, que ce soit d'ailleurs par un champ électrique ou magnétique, ce qui confirme une fois encore la nature identique de l'un et de l'autre.

 

Et pourquoi l'aimant attire-t-il de façon préférentielle un morceau de fer ou d'acier, plutôt que tout autre ?

 

Sans doute parce qu'ils sont très proches dans leur structure moléculaire et que donc ils ont des affinités magnétiques mutuelles au niveau atomique, les autres corps étant très différents les uns des autres.

 

L'électricité est la circulation d'un excédent d'énergie magnétique dû à un apport extérieur. Elle est une forme d'énergie qui manifeste son action soit par des phénomènes d'attraction ou de répulsion, soit par des phénomènes mécaniques, caloriques, chimiques, lumineux ou autres. Peu importe, ce ne sont là que des manifestations différentes d'une même énergie. D'après la Physique officielle, ce fluide dit " électrique " serait censé être composé d'électrons, ou du moins, serait chargé de ces particules qui circuleraient en association avec l'énergie, dans les corps et dans l'espace. 

 

Quoi qu'il en soit, et quelle que soit l'interprétation des phénomènes, nous pouvons expliquer l'électricité par les seuls mouvements magnétiques, et après avoir expliqué la force magnétique elle-même. On pourrait évidemment dire qu'on peut expliquer le magnétisme avec l'électricité, mais pour cela il faudrait expliquer l'origine de l'électricité à partir du néant, ce qui est hors de portée des sciences universitaires. 

 

Nous savons maintenant que les forces immatérielles qui composent les masses s'interpénètrent mutuellement au cours de leurs rapprochements. Lorsqu'au contraire elles s'éloignent, elles se libèrent l'une de l'autre, reprenant leur énergie propre.

 

Tout corps en mouvement d'approche ou de recul par rapport à un autre, produit nécessairement ces phénomènes, quelle que soit la vitesse et quelle que soit l'orientation. Dans des conditions particulières, lorsqu'un excellent conducteur monopolise l'influence en question, elle devient mesurable, orientable et utilisable.

 

Le fait de produire de l'électricité en déplaçant par exemple un aimant d'une spire de cuivre, s'explique par l'excitation successive produite par cette interpénétration au passage près de chaque spire. Il se produit chaque fois une agitation imperceptible par accélération des vitesses de rotation et de translation des particules atomiques constituant les spires concernées, qui ont donc tendance à s'éloigner de leur noyau. Cette agitation se calme après le passage de l'aimant.

 

Comment se calme-t-elle ? Comme toujours, en évacuant l'énergie excédentaire vers l'extérieur, afin que les particules se rapprochent du noyau au niveau de leur équilibre primitif. Mais comme le cuivre est un excellent conducteur, c'est le fil qui va recevoir ce " courant ", beaucoup plus que l'air environnant, mais celui-ci en recevra quand même un peu.

 

On pourra mesurer ce courant et lui donner le nom d'électricité si l'on veut, mais à aucun moment il n'est intervenu autre chose que du magnétisme. On a déjà montré de même, preuves physiques à l'appui, que la gravitation elle-même est un effet magnétique.

 

Cette explication de l'effet électrique n'est admissible que s'il y a interpénétration des champs et accélération des mouvements atomiques en cas d'influence externe, donc si les particules sont bipolaires et magnétiques, et si le synchronisme oblige à l'accélération des mouvements chaque fois qu'une influence extérieure est absorbée. Sinon, avec des particules unipolaires, rien de tout cela n'est possible, il ne peut pas y avoir de " courant " électrique d'un point à un autre. " L'expédition d'électrons sur une onde " est un pis-aller explicatif inacceptable tant qu'on est incapable d'expliquer la nature et l'origine et de l'onde, et des électrons.

 

La lumière est un phénomène tout à fait comparable avec des causes identiques au départ, mais des effets très différents compte-tenu de l'absence de conducteur, et de fréquences plus élevées.

 

II - LA LUMIÈRE

 

VITESSE MAXIMUM OBLIGATOIRE 

 

Voici un sujet digne d'attirer la meilleure attention, considérant les implications qu'il peut avoir sur les sciences physiques et sur la connaissance en général ; car depuis bien longtemps, le monde des physiciens enseigne que la vitesse de la lumière est définitivement établie sur la base de quelques 300.000 kilomètres par seconde dans tout l'univers, et la nature même du cosmos en est profondément marquée. Ainsi, une étoile qui se trouve à 100.000 années-lumière de distance supposée de notre Terre est censée avoir émis sa lumière 100.000 ans avant qu'elle ne nous parvienne. Une autre étoile se trouvant à 200.000 années lumière de distance, vue dans le même instant, nous a donc envoyé sa lumière 100.000 ans plus tôt que la précédente ; que l'on retienne bien ceci. 

 

Nous avons déjà traité le problème de la lumière sur cette base officielle ou à peu de chose près, soit sept fois le tour de la Terre en une seconde, ce qui est déjà énorme ; mais aujourd'hui, sans changer quoi que ce soit à l'observation, aux résultats, aux apparences physiques, nous allons présenter une autre solution possible à cette vitesse qui n'est en fait que très limitée, et si limitée, qu'elle devrait normalement se propager à vitesse infinie. En outre, étant infinie, elle doit être nulle comme tout ce qui est infini ; et c'est un autre problème.

 

LA LUMIERE SE DEPLACE-T-ELLE ?

LE PHOTON EXISTE-T-IL ?

 

Nous pensons, et en réalité, nous en sommes absolument certains, que la lumière n'est pas un phénomène ayant une réalité objective puisqu'elle est due à la perception d'une fréquence vibratoire de nature magnétique, comme nous l'avons déjà expliqué (voir nos livres, qui fait vibrer localement notre cerveau selon la même fréquence déterminée pour chacune des couleurs, au travers de notre système visuel, d'où apparaît une impression donnant l'illusion colorée ou lumineuse. Or, le magnétisme lui-même n'est pas de nature "physique". Pour le comprendre, il faut connaître le Principe-Créateur totalement ignoré des scientifiques classiques et quantiques.

 

La lumière n'est aucunement constituée de grains quelque peu "matériels", des " paquets d'énergie " selon ce que croit le physicien depuis Einstein et les quanta. Elle n'est faite que de l'alternance à un certain niveau de rapidité, des pôles NORD et SUD de l'énergie magnétique dualiste constituant toute chose. Cette alternance provoque l'onde ou les ondes correspondant à telles ou telles fréquences. Certaines de ces fréquences sont perçues comme lumineuses. 

 

La lumière ne devrait donc pas avoir de masse, pas d'inertie, pas de densité, pas de forme ; mais l'onde magnétique génératrice d'effet lumineux peut acquérir, comme toute " fuite " énergétique, une "masse", apparente, et une inertie, qui dans notre milieu terrestre passe pour être ce qu'on nomme le PHOTON. Le photon serait ainsi "l'effet matérialisé" de l'énergie magnétique en mouvement, qui laisse croire que la lumière est une onde accompagnée de corpuscules infimes, "particules" de lumière, qui même, seraient susceptibles de vieillir avec le temps, selon certains. En fait il ne s'agit pas d'une particule transportée par une onde ayant une certaine vitesse, mais une onde de vitesse potentiellement infinie rencontrant sa propre limite, comme un "mur de la vitesse", ce qui donne l'impression matérielle, sur le modèle de la conscience qui refuse d'être infinie. 

 

L'énergie dite électrique (magnétique excédentaire) parvenant dans une ampoule "fuit" aussitôt vers l'infini ; mais au passage, elle agite toutefois les atomes du filament de tungstène ou autre, leur appliquant une fréquence produisant l'EFFET lumineux à la perception. Par suite, arrivant sur une "cible", elle produit un effet fréquent de chaleur en plus de l'effet lumineux qui donne à penser que ce sont des impacts de grains de lumière qui en sont la cause. Mais toute excitation énergétique produit une réaction de rejet, due à la résistance mécanique des atomes que nous sommes seuls à expliquer, qui peut paraître chaude.

 

Mais, que la lumière ou ce qui la produit s'arrête dans sa course, et le photon disparaît spontanément, réapparaissant sitôt que l'énergie reprend son mouvement. Ce qui prouve bien qu'il n'existe pas par lui-même. 

 

Ce n'est là, en fait, qu'un aspect seulement physique du problème, comme tout ce qui est perçu par les sens, et dont la réalité métaphysique est très différente.

 

Car nous savons maintenant que l'énergie magnétique s'étend mentalement à l'infini, et emplit virtuellement tout ce que nous nommons "l'espace" ou le cosmos, et que donc, cette énergie n'a aucune raison de fuir puisqu'elle est déjà partout. Mais en physique, ce sont des variations d'intensités locales qui SE PROPAGENT spontanément autour des objets sous forme d'énergie dite électrique, par l'équivalent d'une " différence de potentiel " qui n'est que le nom physique de la nécessité métaphysique d'unité avec l'extérieur. Les atomes refusant l'énergie excédentaire qui leur est fournie artificiellement, ils reviennent à leur état "normal" dès qu'ils en ont la possibilité, puisqu'ils sont régis par un Principe de mouvement perpétuel qui leur conserve leurs qualités intrinsèques ; ainsi, cette énergie fuit autour de l'impact. Elle peut alors acquérir cette "masse" apparente (le photon) au cours de cette fuite. C'est ce qui réduit la vélocité de l'énergie qui se heurte à sa propre sensation de masse, limitant spontanément la vitesse à 300.000 kilomètres en une seconde, vitesse qui semble ne pas pouvoir être dépassée dans notre milieu terrestre.

 

Cette limitation est, en réalité, une très forte réduction de la vitesse infinie qui seule devrait être, et c'est censément un double freinage qui se produit physiquement puisque, d'une part, l'énergie acquiert elle-même une masse apparente contre laquelle elle se heurte, et d'autre part, l'atmosphère terrestre est censée ralentir l'énergie en mouvement comme le ferait un milieu quelconque plus ou moins "matériel" fluide ou visqueux.

 

La résistance à la fuite infinie, selon Frank HATEM, est ce qu'il appelle " l'inertie du moi ", nécessité de maintenir la distance. 

En fait, puisque la lumière "ne se déplace pas" et qu'elle se propage comme se propage une onde liquide en vibrant sur place sans se déplacer, il n'y a aucune raison que des grains "matérialisés" apparaissent dans l'énergie, pas plus que n'existent d'autres grains de "matière réelle" quels qu'ils soient. Ce n'est qu'une sensation apparente de la physique, un EFFET de masse. D'ailleurs il faudrait expliquer l'origine de l'énergie permettant de propulser ces objets matériels à la vitesse de la lumière qu'ils sont censés constituer.

 

Nous savons en outre depuis les découvertes de Frank HATEM, que le magnétisme générateur de lumière est une "force mentale" née de la double nécessité de distinguer la nullité de l'infinitude du Néant, séparation qui se traduit par le phénomène REPULSIF ; et aussi, d'unir ces deux "entités" afin que le Néant soit, ce qui est primordial et qui se traduit par le phénomène ATTRACTIF. L'AIMANT au niveau physique n'est qu'une manifestation de cette double nécessité. Or, une force mentale ne saurait avoir de limite quelle qu'elle soit ; car de même que la pensée, elle doit pouvoir se propager à vitesse quasi infinie.

 

Mais comme le lieu où croit se situer la conscience est toujours le plus matériel, le plus résistant, c'est dans l'environnement de la Terre que nous percevons une vitesse de l'énergie la plus lente, et il est certain que plus on voit loin, plus on voit les régions de l'univers où cette vitesse est rapide. On parle ici d'un domaine hautement métaphysique qui peut surprendre, mais il est vain de s'accrocher à l'idée que l'univers est objectif et matériel. Il n'est que symbolique et subjectif.

 

Tout cela n'est qu'une première approche permettant de comprendre qu'au plan physique, il est possible de prévoir que la lumière peut atteindre une vitesse jamais infinie bien entendu, cela n'existe pas, mais dont la limite peut toujours être repoussée.

 

PAS DE MASSE SANS RELATION

 

Pour Albert EINSTEIN, tout corps, qui atteindrait cette énorme vitesse de 300.000 kilomètres en une seconde, aurait une masse infinie. On est en droit de se demander pourquoi, et que peut être une masse infinie dans son esprit ?

 

Pour avoir une masse, il faut être délimité, et donc ne pas être infini. On a souvent expliqué que la notion d'infini n'était qu'une tendance, une limite inaccessible, jamais un nombre effectif. Si une masse est infinie, ce n'est pas une masse.

 

Si la "matière" existait vraiment dans l'univers, la vitesse de translation ou déplacement n'aurait absolument aucun impact sur sa propre masse initiale. Elle serait donc invariable. Pour que la vitesse augmente la masse, c'est-à-dire la quantité de matière, si la matière est une réalité, il faut que la vitesse soit également une réalité. Or la vitesse, nous dit-on, est relative. Tout déplacement est relatif à l'observateur. Donc la matière serait relative à l'observateur, CQFD.

 

Donc la matière n'existe pas en dehors de l'idée que s'en fait l'observateur. Elle est donc bien une sensation intérieure à son esprit, elle est mentale, et en totalité. Il n'y a pas une "portion" de la matière qui serait indépendante de la vitesse. Le photon n'existe donc pas plus en soi qu'une autre particule. C'est une sensation, qui existe en tant que sensation, mais à laquelle il est absurde d'attribuer la responsabilité de nos sensations, donc de la lumière. La lumière c'est la conscience, et l'effet de matière en découle, non l'inverse.

 

Il est vrai cependant que LA MASSE EST NULLE EN L'ABSENCE DE MOUVEMENT, ce qui montre bien que la matière n'existe pas en soi.

La masse n'est donc pas une quantité de matière, mais la QUALITE de matière, et en tant que telle, elle est toujours identique, quelle que soit la quantité.

 

On peut tout aussi bien dire que c'est une masse infinie. Une force de valeur 10 opposée à une autre force de valeur 10, engendre la même sensation de résistance absolue qu'une force de 1000 opposée agrave; une autre force de 1000, quelle que soit sa consistance. C'est ce qui se passe dans la nature, lorsque la nécessité d'union et la nécessité de séparation du Néant se heurtent mutuellement pour donner à l'esprit une sensation de matière environnante, car ce sont deux nécessités contraires qui se compensent toujours à tous les niveaux pour des raisons métaphysiques bien précises, ce qui d'ailleurs est l'explication de la Loi d'action/réaction bien connue en Physique, mais inexpliquée. 

 

Par conséquent, la masse du quantum "mental" peut virtuellement varier sans limitation, selon sa vitesse de déplacement ou de propagation.

 

Ainsi, la "masse" virtuelle produite par le déplacement tout autant virtuel de la lumière, ne pourrait être limitée dans sa propre vitesse que si elle se heurtait à une autre "masse" rigoureusement équivalente (qui la freinerait ou la stopperait, tels par exemple, deux faisceaux lumineux de même intensité qui se heurteraient de front).

 

Selon EINSTEIN, la masse deviendrait, semble-t-il, "infinie", fonction de la vitesse de la lumière qui l'accompagnerait, mais sans se heurter à cette vitesse comme le ferait le BANG d'un avion supersonique au moment du dépassement du mur du son dans l'atmosphère. 

 

Lors d'un séjour à Cannes, j'appris par un ami physicien-mathématicien qu'on pouvait faire la preuve que les étoiles, qui se trouvent à la limite des bras d'une nébuleuse spirale, pouvaient atteindre le million de kilomètres à la seconde. Cela toutefois n'intervient nullement sur la vitesse de la lumière, toujours semble-t-il limitée en physique à 300.000 kilomètres en une seconde, puisque comme cela a déjà été dit, ce mouvement n'influencerait pas la vitesse de la lumière. 

 

Par contre, les étoiles sont ENTRAÎNÉES par champ magnétique au cours de la rotation de l'ensemble, formant les bras, comme le ferait une sorte de tourbillon, ce qui n'est pas du tout incompatible, comme nous l'avons étudié avec le mouvement orbital, et ce qui est loin d'être assimilé à une vitesse initiale, mais à une FORCE CENTRIFUGE à l'image d'une fronde.

 

Ce terme de force centrifuge n'est d'ailleurs pas admis en astrophysique pour les mouvements planétaires. Il est pourtant reconnu par les astrophysiciens eux-mêmes que les bras de la nébuleuse spirale sont des agglomérats d'étoiles et planètes qui seraient ENTRAÎNÉES par le noyau central, et non par leur vitesse initiale, ce qui confirme indirectement notre théorie de la formation des systèmes planétaires où les masses sont capturées les unes par les autres une fois formées, constituant des ensembles solidaires. Or, même en partant de la théorie de la nébuleuse de LAPLACE confirmée par le BIG BANG, il n'y aurait pas entraînement par ce noyau central, mais seulement vitesse initiale par suite d'une lancée accidentelle. La physique se contredit lourdement. C'est plus grave que l'on pourrait le penser.

 

Le champ magnétique étant déjà partout où est la conscience dans l'instant présent et à l'infini, il n'a nullement besoin de se déplacer, mais de transmettre "spontanément" en tous lieux de l'infini, comme peut le faire la pensée, les informations qui lui sont fournies en permanence. C'est là un détail très important dont nous allons constater la réalité. 

 

La lumière n'étant que vibrations magnétiques n'a pas plus besoin de se déplacer, et sa vitesse supposée n'est que transmission spontanée de fréquences vibratoires de valeurs lumineuses à quelque distance que ce soit, sans aucune limitation, donc jusqu'à l'infini et variant selon son intensité énergétique. 

 

LES TROUS NOIRS RETIENNENT-ILS LA CONSCIENCE ? 

 

A ce propos, supposer des TROUS NOIRS qui retiendraient, paraît-il, la lumière en lui interdisant de s'échapper par fait de SURgravitation, est pure invention, puisque lumière et gravitation sont de même nature magnétique. Les champs magnétiques s'interpénètrent mutuellement, se confondent ; mais ils n'ont aucune possibilité de retenir des vibrations dont ils sont les propres générateurs. 

 

S'ils sont " noirs ", la raison est ailleurs, et l'on ne pourra en parler que lorsqu'on en confirmera la réalité et qu'on les observera, ce qui n'est pas le cas.

 

Trop d'erreurs ont été prouvées dans le domaine des sciences pour accepter d'emblée tout ce qu'elles affirment. Les observations ont une certaine valeur seulement "physique", mais les Lois qui sont supposées les régir sont souvent discutables, comme nous l'avons déjà démontré. 

 

La loi de limitation de la vitesse de la lumière est une conception matérielle de celle-ci. Il est vraisemblable que cette conception changera.

 

Fonction de cette vitesse limitée bien que déjà énorme à notre échelle, la science considère que la lumière, qui nous parvient d'une étoile ou d'une galaxie, met un certain nombre d'années ou de millénaires quand ce ne sont des milliards d'années à nous parvenir. Et cela signifierait que l'étoile que nous observons de nos jours est peut-être morte depuis bien longtemps, ou de toute façon, ne se trouve plus là où on l'aperçoit, car ce n'est pas l'étoile que l'on voit, mais la lumière quelle aurait supposément émise il y a tant ou tant d'années.

 

Cela n'empêche pas les astro-physiciens d'étudier les nébuleuses spirales telles qu'ils les voient, alors que, dans leur logique, puisque leurs étoiles peuvent être éloignées de centaines de milliers d'années-lumière, elles ne peuvent avoir leur vraie forme à nos yeux. Et si nous les voyons toutes sur le même modèle, parfaitement harmonieux et organisé, c'est bien qu'en réalité, nous les voyons telles qu'elles sont, et que la vitesse de la lumière n'a aucune influence sur notre vision de l'univers. Donc que la prétendue limitation de la vitesse de l'énergie, peut-être valable dans le milieu planétaire, est un mythe de plus responsable de l'erreur de bien des théories actuellement en vigueur. Mais là encore, qui se pose la question ?

 

Et la conséquence sera que toute la théorie du big bang datant les strates de l'univers en fonction de leur éloignement et de leur aspect, est totalement à l'eau. A cause d'une pauvre nébuleuse.

 

C'est bien normal, puisque tout est présent, et que l'infinité de l'espace est contenue dans le point nul de la conscience.

 

Nous prenons pour vraies toutes ces sensations subjectives de temps, d'espace, de matière, de mouvements, de vitesses, etc... etc... Or, nous avons montré qu'elle n'ont de réalité que subjective, relative à l'observateur qui les engendre. Au travers de ces sensations bien comprises, il est donc possible de retrouver la réalité métaphysique, puisque la vitesse de la lumière est potentiellement infinie, et donc nulle comme l'origine d'où elle est issue. 

 

Pourtant, les informations mettent effectivement un certain temps à nous parvenir des planètes, qui confirme cette vitesse de l'énergie. Il ne faut pas prendre cette vitesse pour une Loi universelle.

 

La conscience n'a pas la même qualité partout où elle se croit, et on sait qu'au cœur des galaxies, la puissance d'amour est beaucoup plus grande qu'à leur périphérie, mais cela fait entrer en ligne de compte des considérations qui dépassent de loin le domaine Physique. Notre système solaire est situé plutôt en périphérie de notre galaxie. La vitesse de l'énergie, c'est notre capacité d'amour, d'intégration de l'infini en nous. Comprenne qui en fait l'effort. Il faut se garder de généraliser notre état mental, et croire que tout l'univers a le même niveau de conscience que nous, Terriens.

 

Ceux qui trouvent que ceci est un charabia mystique feraient bien de réfléchir à la signification profonde de l'expression : "tout est relatif", vitesse, masse, énergie, espace-temps, ils parviendront aux mêmes conclusions que nous, une fois établis les deux pôles de la relation en question. 

III - LA MÉCANIQUE DES FLUIDES

ET LA VIE ORGANIQUE

 

L' EVOLUTION DANS LA MATIERE ET L'ORIGINE DE LA VIE

LA PHYSIQUE DES FLUIDES

 

Toute matière est vivante, animée de mouvements incessants et extrêmement rapides donnant une impression de stabilité, cela n'empêche pas de s'intéresser particulièrement à ce qu'on appelle " vie organique ", celle qui semble plus à même d'évoluer, de se déplacer, d'échanger, de communiquer, que les minéraux très lents dans leur évolution par rapport à nous.

 

La vie n'est pas le résultat de l'évolution. C'est l'évolution elle-même. Qui s'accélère au fil du temps, c'est-à-dire au fur et à mesure de la prise de conscience de soi. Cela signifie que la vie est première. Il ne saurait y en avoir aujourd'hui s'il n'y en avait toujours eu. Tout est contenu dans le but originel.

 

Sans ce but, rien n'est possible. Le BIG BANG ne saurait expliquer la formation d'un atome à partir d'une explosion. Il suffit d'étudier l'immense subtilité mécanique de l'atome pour en être convaincu. Tant qu'on en est ignorant, évidemment, on peut tout croire. Même que deux particules lancées à la volée vont se réunir et tourner l'une autour de l'autre pour l'éternité et malgré toutes les perturbations que nous leur appliquons et qu'elles s'appliquent entre elles ! Et se mettre à évoluer " par hasard " sans qu'une nécessité, une volonté ou un but n'y préside ! 

 

Il est déterminant de s'apercevoir qu'une fois ce but élucidé, il s'ensuit une formation de l'univers sous la forme que nous constatons. Mais selon des lois qui n'ont rien à voir avec celles enseignées aujourd'hui officiellement, et qui hélas paraissent d'autant plus incontestables qu'elles permettent d'améliorer notre confort technique. Mais c'est une chose de fabriquer un appareil électrique, même en ignorant la nature et l'origine de l'électricité, c'en est une autre de générer un atome perpétuel. 

 

PARTICULES, MOLÉCULES ET RELATIONS PHYSICO-CHIMIQUES. 

 

On a démontré de façon incontestable, dans les sites sur l'univers et sur la science, que tout est mental, et que le mental est une fonction dualiste inséparablement. C'est la raison pour laquelle TOUS les phénomènes physiques sont de nature magnétique.

 

De même, la seule attraction universelle ou gravitation serait foncièrement incapable de produire quoi que ce soit, si elle n'était complétée de sa dualité, la répulsion également universelle mais dont les effets sont ésotériques, c'est-à-dire qu'ils constituent l'aspect invisible de la mécanique universelle. On le démontre avec notre appareil montrant deux aimants en rotation synchronisée où seule l'attraction paraît visible. 

 

Par suite la chimie, étant de nature physique puisqu'elle est régie par les mêmes relations entre particules atomiques et autres molécules, n'existerait pas sans ce dualisme, et il serait impossible de produire des compositions de divers éléments. Il n'y aurait aucune différence entre les acides et les bases, entre les hydrocarbures, les jus de fruits, les huiles végétales et les huiles minérales, entre les solides, les liquides et les gaz, entre les divers atomes, puisque les particules n'auraient aucune raison de se distinguer les unes des autres, ayant même forme, même masse, même énergie positive OU négative. De telles qualités montrent qu'elles sont elles-mêmes constituées d'une mécanique intérieure qui leur donnerait ces facultés, car on ne peut être positif ou négatif sans raison préalable. Seul le dualisme se justifie à partir du néant (et toute autre origine que le néant ne fait que reculer le problème du point de vue de la rationalité). Si la vie peut être qualifiée de " positive ", sa cause en est l'aspect " négatif " et invisible (sans aucune connotation de jugement).

 

Tout se produit au niveau de l'atome qui constitue tout corps et toute vie, et dont nous savons maintenant que la particule elle-même, divisible à l'infini (et donc ne pouvant être " initiale " malgré ce qu'en dit la physique), a de ce fait, la possibilité de se transformer. L'atome est la résultante la plus synthétique des lois causales, l'image-même de la Métaphysique (voir le "Livre de l'Infini").

 

Sa transformation est d'autant plus possible, que la "matière" n'est pas faite de corps physique, mais de Conscience ou Esprit, et que de ce fait, elle n'est pas contenue dans une obligation de demeurer ce qu'elle est indéfiniment. Au contraire, l'esprit est évolution nécessaire. 

 

L’IMPOSSIBILITÉ DU MODÈLE EN VIGUEUR

CONCERNANT LES FLUIDES ET L'EVOLUTION

 

Supposons que l'on agite un bac de sable aussi fin qu'il sera possible de l'obtenir. Supposons même que la ténuité de ce sable parvienne à la finesse de l'ETHER de nos anciens philosophes, aussi impalpable que lui. Ce "milieu" ne sera pas pour autant capable de demeurer agité bien longtemps. C'est pourtant sur ce modèle qu'est conçue la théorie actuelle des fluides ou " mouvement brownien ".

 

De nombreux physiciens de ma connaissance, à l'instar de PLATON et de DESCARTES, se sont acharnés à expliquer que cet ETHER était organisé en "tourbillons" dont les grains constitutifs roulaient les uns sur les autres de façon indéfinie, et donc éternellement, formant les atomes. Ce modèle d'univers, repris par divers chercheurs, ne semble pas choquer les esprits, et pourtant, il est absolument démentiel de croire que de tels tourbillons puissent se maintenir ainsi, plus de quelques millièmes de seconde ; et à la condition encore que cesdits tourbillons aient été, ou soient lancés artificiellement. Car comment pourrait-on supposer qu'ils soient éternels, et donc sans commencement ni fin, et qu'ils puissent continuer ainsi, en dépit des frottements incessants entre grains tournant les uns dans un sens, les autres dans le sens inverse, d'autres encore tournant les uns en travers des autres ? 

 

Bien entendu, tant que l'on n'a pas d'autre solution, tout est bon pour essayer de comprendre ; et cela est également valable pour le "principe" de NEWTON qui est tout aussi impossible au niveau des satellites NATURELS, avec pour seuls éléments, la "gravitation et une lancée initiale accidentelle ; mais alors, qu'on ne nous les impose pas comme des certitudes exactes et indiscutables. C'est une attitude enfantine et moyen-âgeuse que de vouloir " enseigner " les " lois " de la Physique. On devrait avoir assez de confiance en soi et en l'homme pour n'apprendre qu'à réfléchir et à chercher, à partir, certes, de ce qui est supposé à un moment donné. Par exemple, prétendre que les particules ont toutes la même " masse " et le même " poids " devrait prêter tout étudiant un peu réfléchi à rire aux éclats. On l'enseigne cependant tel quel. On devrait avoir l'honnêteté de se contenter de dire : " voilà une hypothèse qui permet de soutenir telle théorie dans le but d'obtenir tel effet technique, et en fonction de tels postulats ". 

 

Nous avons vu avec les satellites artificiels qui d'ailleurs ne fonctionnent pas comme les satellites naturels, qu'ils pouvaient respecter le supposé Principe de NEWTON durant un certain temps, avant de chuter irrémédiablement sur Terre. Par contre, la Lune ne tombera jamais sur notre planète, pour la raison que toute approche intempestive éventuelle, serait spontanément compensée par une augmentation de la force centrifuge ramenant la distance moyenne à sa juste valeur... Et pour l'éternité.

 

Aussi bien dans le bac de sable soumis à des frictions incessantes, que dans l'espace newtonien où les équilibres seraient détruits en permanence, tout mouvement serait rapidement ANÉANTI. 

 

L'Evolution est un problème considérable ; on ne peut en effet partir de l'existence d'une chose qui serait "initiale" en soi, et la voir évoluer ; ce serait un contre sens, car une chose initiale ou existant par elle-même, étant sa propre origine, ne saurait pouvoir se transformer, ou alors elle ne saurait être originelle, et donc non initiale, puisque transformable.

 

On peut chauffer un caillou, ce n'est pas cela qui va lui faire pousser des membres et lui donner conscience de son existence, ou créer des relations intimes avec ses proches, à supposer qu'il soit initial de sa propre "nature". Mais ce n'est pas le cas, car rien, même l'univers, ne saurait exister objectivement par lui-même, sauf le RIEN lui-même.

 

Il est d'ailleurs vrai que le caillou est constitué d'atomes, et est en quelque sorte, parvenu à un stade d'équilibre tel, au cours des milliards d'années, que par sa structure atomique, il lui faut beaucoup plus qu'un peu de chaleur ou l'influence d'une simple pensée, pour l'émouvoir. On peut aussi considérer que le corps minéral, caillou ou autre grain matérialisé, qu'il soit métal, métalloïde, cristal ou corps quelconque parfaitement inerte, incapable d'évolution sur de très longues périodes, peut aussi être l'état premier en équilibre optimal, et donc, sans n'avoir jamais été autre chose qu'un assemblage d'atomes supposément primitifs. Il est aussi admissible que tous les corps sont, arriveront ou reviendront un jour même très lointain, à cet état de fossilisation. Le squelette du corps animal en est une démonstration. Lorsque nous marchons sur du calcaire ou du sable, nous marchons sur des milliards d'années d'accumulation de cadavres d'animaux. Ce n'est pas une hypothèse. Nous pourrions d'ailleurs dire de centaines de milliards d'années peut-être, car comme la vitesse de la lumière n'a aucune valeur de datation des étoiles, ainsi qu'on l'a expliqué, les affirmations concernant les 4 ou 5 milliards d'années d'âge de la Terre sont une pure spéculation.

 

QUELLE MATIÈRE PEUT ÉVOLUER ?

 

Pour que puisse évoluer la matière, elle doit non seulement communiquer avec ses proches, mais elle doit être capable de procéder à des échanges ; elle doit pouvoir donner et prendre, s'intégrer, se détacher, s'adapter au milieu ; elle doit être à la fois indépendante, maîtresse d'elle-même, autonome, capable de vivre égoïstement, mais aussi être un peu selon les besoins, esclave du milieu, s'associer à son entourage, l'apprécier, le comprendre. Autant dire que pour que la matière inerte évolue vers la vie, il faut qu'elle contienne déjà tous les éléments de la vie. C'est le cas. Il y a tout dans l'atome, intelligence y compris.

 

C'est en cela que le Principe-Créateur est ÉVOLUTIF ET ADAPTATEUR, car il est fait de Conscience, et non de particules matérielles ; et c'est ce que nous avons constaté dans l'atome, au moins en partie, et que nous allons compléter avec la physique des fluides ; car les échanges qui se produisent ne répondent pas seulement de déplacements de particules, mais de fonctions "mentales" des unes envers les autres par les énergies magnétiques qui s'interpénètrent et se libèrent mutuellement. 

 

ÉCHANGER C'EST SE CHANGER

 

Une terre aussi aride que celle de la Lune, ne peut porter la vie parce qu'elle ne possède apparemment ni atmosphère, ni océans, pas même quelques lacs, ou quelques rares oasis. Cela ne signifie nullement qu'aucune vie n'y existe ; c'est seulement peu probable.

 

Dans les immenses déserts terrestres, la vie est réduite au minimum. On y rencontre quelques spécimens, êtres humains et animaux qui se complaisent dans la sécheresse, mais encore faut-il préciser que ces déserts ne sont pas complètement dépourvus d'eau.

 

Sans eau, ou du moins sans LIQUIDES sous quelque forme de fluidité que ce soit, il n'est pas de vie possible parce qu'il n'est pas d'échanges possibles entre les diverses structures atomiques des êtres, entre les cellules ou autres corps quels qu'ils soient. Par conséquent, le Soleil générateur d'énergie, ne suffit pas à produire la vie, si des échanges intelligents ne se manifestent pas d'une manière ou d'une autre.

 

Le fluide, qui est synonyme d'échanges, est l'évolution elle-même.

 

Pour permettre à la matière d'évoluer, dans quelque sens que ce terme soit pris, elle doit se soumettre à une certaine discipline, de même que les hommes doivent être liés entre eux par des conventions souvent arbitraires mais indispensables, chacun apportant sa contribution à la société. Il existe donc une forme de VOLONTÉ dans la matière.

 

L’ÉGOÏSME qui est une chose en soi parfaitement naturelle, et que les hommes se sont empressés d'accueillir au nom du bon droit de chacun de garder pour soi ce qu'il prétend posséder, ne peut que provoquer l'isolement des individus, et par conséquent l'interdiction des échanges et d'une quelconque évolution. La matière en ce sens, est plus évoluée "mécaniquement" que l'homme trop égoïste. Voir nos sites psychologiques et sociaux à ce sujet.

 

Nous allons voir comment la "nature" nous donne un nouvel exemple de relations entre les atomes, avec la physique des fluides, et que les hommes pourraient pratiquer dans de nombreux cas, ce qui leur permettrait une meilleurs adaptation par moins de rigidité dans leur comportement, et par des échanges équilibrés.

 

LE MOUVEMENT BROWNIEN

 

ROBERT BROWN, botaniste Écossais, a découvert un mouvement désordonné des particules très petites en suspension dans les liquides, appelé depuis mouvement brownien.

 

Ce mouvement répondrait des mouvements des molécules dans les plasmas, dans les magmas, dans les liquides et dans les gaz. Il devrait donc être la base des échanges nécessaires à l'évolution, mais ce mouvement est-il justifié ?

 

Le premier dessin ci-dessus, montre une molécule partant de A et se retrouvant en A' après avoir parcouru une trajectoire quelconque, en ligne brisée ou autre, avec des vitesses variables ou irrégulières durant ce trajet, dans un liquide ou dans un gaz.

 

Comment déterminer les raisons qui permettent à cette molécule ou corps en suspension, de se déplacer dans de telles conditions, aussi bien dans les liquides stables qu'agités ? 

 

Les théories classiques, assez peu révélatrices, admettent qu'un "perpétuel mouvement" (par peur Principe de " mouvement perpétuel " qui régit l'atome et l'univers) agite les fluides, considérant que les molécules se BOMBARDENT mutuellement dans un mouvement incessant, et donc permanent, supposément éternel. 

 

Ceci serait à l'image de nos grains d''ETHER qui tourbillonneraient dans l'espace, sans tenir aucun compte des résistances qui freineraient ces mouvements en frottement les uns contre les autres ; car en fait, combien de temps pourraient durer ces bombardements qui ne seraient aucunement entretenus par un procédé quelconque "auto-agitateur" ?

 

Cette agitation devrait donc s'arrêter, et le corps fluide devrait se solidifier presque instantanément ; Or il se poursuit depuis des millions, ou plutôt depuis des milliards d'années, sans intention apparente de répit. 

 

Les bombardements ne peuvent se perpétuer indéfiniment sans raison valable. D'ailleurs, y-a-t-il vraiment bombardement ? Et d'où viennent-ils ? Autres problèmes auxquels la physique ne sait répondre. (Ce n'est pas un reproche, c'est un constat).

 

Lorsque le liquide se trouve enfermé dans un récipient, on pourrait envisager cette possibilité dans la mesure où les chocs entre molécules seraient contenus par les parois du récipient, empêchant le liquide de fuir et de se répandre d'une façon quelconque. Mais comment ces bombardements pourraient-ils se poursuivre ? Une simple expérience montre la non validité de tels mouvements des molécules s'entrechoquant les unes les autres, et qui ne demanderaient qu'à se séparer. 

 

Il suffit de considérer une goutte d'eau ou d'huile suspendue à l'extrémité d'une tige, ou même en suspension dans l'espace, comme peut l'être une goutte de pluie, pour se rendre compte que la goutte se met en boule au lieu d'exploser par les chocs qu'elle serait censée subir.

 

Si les molécules s'entrechoquaient, elles auraient tôt fait de s'éparpiller au lieu de demeurer unies, solidaires les unes des autres. Une goutte d'huile peut sécher et durcir, ce qui ne met nullement en évidence, la présence d'un bombardement, mais au contraire la recherche permanente d'une solidarité moléculaire, d'une cohésion tendant à réunir.

 

De même, une goutte d'eau posée sur un support, s'étale par écrasement dû à son poids, sa densité étant supérieure à sa résistance à la déformation. Elle ne cherche nullement à se diviser en gouttelettes plus petites qui au contraire se rassemblent sitôt que possible dès qu'elles sont en contact, ne demandant qu'à se réunir en une boule unique.

 

Si des bombardements sont capables de rassembler ainsi des gouttelettes au lieu de les disperser, j'aimerais que l'on m'en donne l'explication. Il est vrai que pour justifier un problème aussi surprenant, on pourrait tenir compte de ce que la physique appelle la "tension de surface" du liquide qui empêcherait son explosion, tension qui formerait à la surface, une sorte de pellicule résistante qui s'opposerait à la pénétration d'un corps étranger, et qui de même pourrait peut-être s'opposer à la fuite des molécules vers l'extérieur, mais pourquoi ? La reconnaissance d'un fait n'en est pas l'explication. 

En vérité, j'ignore en quoi consiste réellement au niveau classique, cette tension qui permet par exemple à une araignée d'eau, de se poser à la surface sans y enfoncer ses pattes. Pourtant, ce phénomène est réel, et l'on peut tout aussi bien poser à la surface de l'eau ou autre liquide, des corps relativement très légers qui ne s'enfoncent pas, et qui demandent même l'apport d'un certain effort pour les faire pénétrer à l'intérieur, malgré des densités bien supérieures à celle du liquide... Et je ne veux pas parler du Principe d'ARCHIMÈDE qui permet aux navires de tenir en surface sans être immergés ; je pense à des petites feuilles de métal très minces posées à plat sur le liquide.

 

On peut invoquer le fait que certains corps sont plus ou moins gras ou hydrofuges, et refusent de s'humidifier, repoussant l'eau par exemple ; mais la vraie raison de cette tension de surface, est que les liquides comme aussi bien les gaz, ne sont ni plus ni moins comparables aux corps solides quant à la solidarité des particules atomiques qui sont liées entre elles par les mouvements synchronisés de leurs pôles magnétiques en harmonie des rotations, et qui s'opposent à leur séparation, bien que se trouvant à distance les unes des autres. C'est tout le principe créateur, conservateur et évolution du " Mouvement Perpétuel " régissant l'atome ainsi qu'on l'a décrit, qui explique cette résistance à l'évolution.

 

Le corps liquide est donc un solide relativement fluide dont les particules atomiques demeurent solidaires. Il faut par un effort extérieur, les obliger à se séparer. La résistance à leur séparation est fonction des efforts tendant à cette séparation.

 

LE " MOUVEMENT HATEMIEN " 

 

Le mouvement hatémien (pourquoi ne pas l'appeler ainsi ?) ressort comme étant beaucoup plus fiable que le mouvement brownien par le fait qu'il ne s'agit nullement de chocs entre les molécules, mais de fonctions harmonieuses douées d'une sorte d'intelligence mécanique, et dirons-nous, d'une forme de conscience, presque de réflexion. 

 

Le dessin ci-après, montre deux atomes quelconques représentant un corps solide selon notre conception "ternaire" d'équilibre. Nous savons que les atomes se maintiennent à une certaine distance les uns des autres, solidaires par leurs mouvements polaires (qui maintient, rappelons-le, une attraction permanente alors que la répulsion y joue tout son rôle) qui forment en association avec les translations orbitales des électrons (qui joue au contraire dans le sens de l'éloignement), une sorte de lien d'équilibre presque matériel qui interdit leur rapprochement ainsi que leur éloignement. C'est ce qui caractérise la rigidité relative d'un corps, qui ne peut être modifié que par la production d'un effort conséquent.

 

Pour s'infiltrer entre ces atomes, pour y interposer un corps étranger, il faut les arracher l'un à l'autre, bien qu'ils soient distants l'un de l'autre, jamais en contact réel, unis seulement par leur seul champ magnétique jouant le rôle d'un lien solide. Par leurs affinités polaires, ils se refusent à se séparer dès l'instant qu'ils sont partie intégrante d'un corps structuré régis par la même fréquence vibratoire qui en fait la particularité. Deux atomes de fer venant du même minerai, ont la même fréquence vibratoire (rotation des particules atomiques). Ce qui ne veut pas dire qu'ils se confondent automatiquement lorsqu'ils sont séparés, parce que les particules, (électrons) périphériques, ne se trouvent plus en harmonie parfaite des mouvements orbitaux les uns envers les autres. Ce n'est valable que lorsqu'ils sont partie intégrante d'une même molécule ou d'un ensemble plus important. 

 

Nous constatons dans notre dessin ci-dessus que les limites orbitales des électrons les plus éloignés des noyaux centraux, ne peuvent se gêner mutuellement, et que les deux atomes sont parfaitement indépendants, isolés, autonomes, mais cependant liés entre eux par leurs affinités magnétiques; et limités dans leur encombrement, formant un corps "solide", peu malléable, résistant à la déformation, car toute action entraîne une réaction spontanée qui ramène rapidement chaque élément en sa position préférentielle à laquelle il tient essentiellement afin de se trouver en bon accord de ses énergies et de ses mouvements avec les autres éléments. (C'est ce qui conditionne le "principe de conservation" en apparence physique) ; mais en fait, c'est parce que le Principe Créateur est également conservateur, puisqu'il recherche constamment l'équilibre stable de ses mouvements et de ses énergies, luttant contre toute déformation.

 

Toutefois, si nous leur apportons une quantité d'énergie capable d'activer les vitesses de rotations et de translations orbitales grâce à l'interpénétration de flux magnétiques qui leur sont étrangers, nos atomes vont se dilater séparément l'un de l'autre : 

 

Ainsi, nous voyons les électrons s'éloigner de leur noyau respectif, occupant un plus grand volume, entraînés par une plus grande force centrifuge. Ils se rapprochent donc des autres noyaux et des électrons qui les entourent puisque les atomes, eux, ne s'éloignent pas pour autant du fait qu'ils ne tournent pas l'un autour de l'autre. Il arrive par conséquent un moment où ces électrons périphériques, sous l'apport d'une énergie suffisante, parviennent à la limite tangentielle des deux atomes, et peuvent ainsi passer de l'un à l'autre sans aucune gêne, dans un échange continuel de particules, tout en demeurant solidaires de leur noyau respectif, et des nouveaux noyaux des atomes dans lesquels ils s'incorporent fugacement, provisoirement, passant de celui-ci à celui-là, évitant tel autre, faisant trois tours complets ici, un quart de tour là-bas, revenant, repartant, mais jamais libérés de l'emprise de tous les noyaux avec lesquels ils demeurent toujours synchronisés. 

 

L'énergie excédentaire est suffisante dès l'instant où les électrons s'éloignent eux-mêmes suffisamment de leur noyau pour rendre le solide plus malléable et même visqueux ou magmatique, du simple fait de la dilatation ; et elle peut être augmentée jusqu'à la fluidification, et au-delà dans la gazéification et jusqu'à l'explosion en passant par le feu.

 

Nous voici donc en présence d'une sorte d'agitation par laquelle les particules changent continuellement de trajectoire, indéfiniment, tant que le corps est soumis à l'apport d'énergie. C'est LE MOUVEMENT HATEMIEN qui n'a plus rien à voir avec un bombardement incessant des molécules, mais à un ensemble HARMONIEUX des mouvements où la solidarité est maintenue, et où les atomes peuvent changer de positions les uns par rapport aux autres, rendant la matière qui était solide, plus souple, plus malléable, plus transformable avec un minimum d'effort.

 

Dans cette transformation, il ne s'agit pas d'ajouter des molécules INERTES les unes aux autres, mais de produire une agitation sous forme de relations intelligentes et réfléchies entre les particules par interpénétrations d'énergies MENTALES que sont les forces magnétiques, seules constituantes des atomes.

 

Et nous découvrons une fois de plus, l'intelligence de la "matière" ou plus précisément du Principe-Créateur, par le fait que lorsqu'un atome se sépare de l'un de ses électrons, il s'empresse d'en récupérer un autre qui ne demande qu'à s'incorporer à lui. Car la quantité virtuelle de matière ne varie aucunement par la transformation du corps solide en corps liquide, conservant sa masse, ses caractéristiques, ses propriétés générales, et LAVOISIER y trouverait son compte en disant que "  rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ", ce qui apparaît à l'observation et au calcul.

 

Tout au long de cette transformation , les atomes demeurent liés par leurs affinités magnétiques, bien qu'ils puissent se déplacer comme s'ils étaient des grains de sable indépendants, mais avec la différence qu'ils demeurent liés, bien que sans jamais être en contact les uns et les autres.

 

Nous voici donc dans un nouvel état de la matière qui, loin de chercher à se disperser par suite de bombardements, cherche au contraire à demeurer en un bloc solidaire, mais ayant perdu presque toute sa résistance à la déformation, n'offrant "presque" aucune résistance à la rupture. C'est ainsi que pour séparer deux molécules d'eau par exemple, il faut faire un effort si infime soit-il, et que l'on peut constater une résistance à la pénétration des corps étrangers.

 

En allant plus loin, on s'apercevra que le liquide peut devenir gazeux à force de recevoir ces apports d'énergie, les noyaux finissant eux-mêmes par s'éloigner (voir les explications dans " La Fin de l'Inconnaissable "). 

 

Mais par quel prodige un liquide pourrait-il devenir solide, et redevenir ensuite liquide, et sans perdre aucune de ses propriétés, s'il était régi par le " mouvement brownien " ? Par quel miracle les " perpétuels mouvements " et les " bombardements incessants " reprendraient-ils d'eux-mêmes après avoir été interrompus ? Que sont donc ces éléments étranges et anti-lois de la Physique qui se mettraient à s'agiter dè qu'on leur lâche la grappe et sans consommer d'énergie ? 

 

De toute évidence, il faut autre chose. Quelque chose qui pousse à évoluer, à bouger, dès que les conditions le permettent. Quelque chose qui fait qu'on se lève le matin, que l'herbe pousse partout où elle peut, et que la glace redevient eau. Quelque chose comme une volonté. Un désir de liberté. Un but, peut-être. Tout le contraire des théories actuellement en vigueur.

 

Car il est bien évident que la fluidification n'est pas suffisante pour expliquer la vie. " S'il y a de l'eau sur Mars, alors il y a de la vie " ! D'accord, mais par quel miracle ? Est-ce le hasard qui fait que chaque fois qu'il y a de l'eau il y a de la vie ? Pouvez-vous exhiber un seul centimètre carré de terre où quelque chose ne pousse pas lorsque les conditions s'y prêtent ? Pourquoi à chaque instant y a-t-il toujours un plus, alors qu'il serait tellement normal, si nous venions d'un accident hasardeux, qu'il y ait toujours moins ? Qu'est-ce donc qui s'oppose ainsi à l'"entropie" (déperdition de l'énergie et dégradation naturelle d'un système matériel livré à lui-même) ? Ne serait-il pas plus normal que l'eau ne fasse rien pousser ? Pourquoi une cellule se reproduirait-elle si elle n'en avait pas envie ? Si on pouvait arrêter l'univers, il repartirait et de la même façon. C'est une certitude pour tous ceux qui en étudient la démonstration.

 

Des conditions extérieures ne produisent rien si des conditions intérieures n'ont l'intention de les exploiter. Mais pour un physicien, il est facile de mesurer les conditions extérieures, matérielle, et impossible de mesurer la condition intérieure. Alors il croit que la matière produit à elle seule les effets qu'il constate. Et évacue l'esprit, la vision, le but.

 

Mais quand vient le jour du bilan, il dit, tout physicien qu'il est : " sans doute, "Dieu" a-t-il voulu tout cela ".

 

Deux molécules s'uniraient-elles si elles n'avaient l'unité pour but ? Et un caractère nouveau serait-il " adopté " s'il n'y avait la volonté de continuer de vivre ? Car c'est à chaque instant qu'il faut choisir de ne pas disparaître, à chaque instant qu'il faut trouver l'énergie de durer. La vie se défendrait-elle sans nécessité ?

 

Cherchez la nécessité, le but, vous aurez la clef de l'univers, la clef de l'atome et de la vie.

 

Cherchez le hasard, vous ne trouverez rien.

 

Inventerions-nous des théories à débattre si nous n'avions pour but la paix de la certitude, pour aspiration la joie de l'unité ?