Par Léon Raoul HATEM
Extrait du Résumé de la
Théorie Unitaire Intégrale Atomique et Cosmogonique
déposée à l'Académie des Sciences de Paris en 1955.
Expliquer la naissance d'un atome, c'est expliquer la naissance de l'univers. A partir du seul modèle de particule pouvant naître de rien, possédant en elle-même la contrepartie de sa propre existence, ainsi qu'on l'a démontré dans d'autres sites sur les limites de la Physique quantique et sur l'origine de l'énergie universelle, on constatera que le Point-Zéro de l'univers n'est pas situé en un centre mais en TOUS les centres. C'est en chaque point de l'infini que le Principe-Créateur que l'on a décrit précédemment, devient atome ou système planétaire, donnant à chaque atome sa propre source d'énergie, de conservation et d'évolution.
Cinq règles fondamentales mettront très vite les choses en place. On les résume d'abord ; ensuite on les développera:
1°) On ne reviendra pas sur la naissance des "Proto-Particules" (voir l'indispensable "LIVRE DE L'INFINI" que vous pouvez commander immédiatement en cliquant dessus. Ces concentrations d'énergie magnétique, si immatérielle soit-elle, n'en ont pas moins une inertie (dont l'origine est le rôle de frein à l'évolution, propre à la conscience dont on démontre qu'elle constitue toute énergie). L'origine de cette conscience est expliquée dans le même livre pour la première fois dans l'histoire de l'humanité).
2°) La loi de conservation de la matière et de l'énergie (selon laquelle toute production de travail consomme une énergie équivalente), est la conséquence de plusieurs lois qui lui sont antérieures, inhérentes au PRINCIPE-CRÉATEUR , et qui, tout d'abord, permettent la création d'Energie Cinétique. Cela se passe AVANT que l'univers ne soit physique ; AVANT que le Principe-Créateur ne soit devenu atome ou système planétaire.
Lorsque la matière est organisée, (atome en phase terminale de création), l'univers est réalisé. Aucune création n'est plus possible, et la "matière" physicalisée devient permanente, car sa cause est éternelle. Le fait qu'il soit impossible de créer de l'énergie-matière APRES, n'interdit pas que cela soit possible AVANT l'univers (non pas avant dans le temps, mais avant dans les causes). C'est évidemment possible, sinon il n'y aurait pas d'univers.
Tout Principe-Créateur est un "couple" dont chaque élément se trouve à très grande distance de l'autre, bien qu'ils forment un ensemble cohérent. Et chaque "masse" agit sur l'autre, comme si elle lui était étrangère ; ce qui justifie que chacune des masses oblige l'autre à se mettre en rotation et en mouvement orbital autour d'elle, par Champ Magnétique. Cela justifie que le Principe-Créateur soit régi par un processus PERPÉTUEL de création d'Energie Cinétique (exclusivement dans l'atome et le système planétaire simple ou compliqué).
3°) Toute énergie est bipolaire. Nous nous sommes déjà expliqués sur cela : La Gravitation est la conséquence d'un comportement particulier du Champ Magnétique lorsque les pôles sont en rotations synchronisées d'une masse à l'autre. Cela a pour résultat de voir les masses s'ATTIRER en toutes positions relatives, tandis que la "répulsion" semble inopérante, bien qu'elle joue un rôle important, en maintenant les masses à distance. (voir stabilité mécanique).
4°) Ainsi, l'attraction entre deux corps se trouvant à grande distance l'un de l'autre (c'est le cas des étoiles et planètes, comme des particules atomiques) dépend absolument de leurs mouvements respectifs. S'ils ne tournent pas en harmonie ("en phase"), ils sont moyennement indifférents l'un à l'autre, s'attirant et se repoussant alternativement. Des expériences simples le prouvent très aisément.
5°) L'effet de GRAVITATION est donc une résultante, à laquelle s'ajoute l'effet de DEGRAVITATION, qui est la "CLÉ" de la Connaissance. Elle se prouve également mécaniquement ; elle est la loi la plus subtile et la plus essentielle de toute la Mécanique Universelle. C'est sa découverte par Léon Raoul HATEM en 1955 qui a permis de débloquer toute la science pour aboutir aujourd'hui à une compréhension réelle et exhaustive de l'univers dans toutes ses propriétés.
1°) L'ENERGIE IMMATÉRIELLE A UNE INERTIE.
Il n'est pas nécessaire d'insister longtemps sur ce qui est une évidence depuis que l'on connaît la nature du "moi", origine de l'énergie que l'on nomme "Magnétique".
L'énergie, dès qu'elle est en mouvement, se heurte à la propre résistance, ou masse) qu'elle crée dans sa fuite. C'est le "mur de la vitesse" qui est limitée à 300.000 Km par seconde, celle de la lumière. Ne pas résister, serait être immédiatement infinie ; ce serait donc pour le moi qui a pour but l'infini, être spontanément le néant), l'infini étant nécessairement nul, et donc la nécessité de cette conscience lui confère un effet d'inertie à l'état de repos.
Il est clair que toute matière est constituée d'énergie (ceci est démontré explicitement dans "LA FIN DE L'INCONNAISSABLE", et est de plus en plus souvent admis par les scientifiques depuis Albert EINSTEIN). Mais il faut préciser que cette énergie est MAGNÉTIQUE. Toute matière a une inertie, et c'est bien l'énergie exclusivement magnétique et rien d'autre, qui possède cette inertie : "masse" apparente engendrée par le mouvement (une énergie non magnétique ne pourrait engendrer aucun mouvement car seule la dualité le permet).
"L'INERTIE" est ce qui caractérise la masse, en s'opposant à son déplacement. Elle devient "FORCE D'INERTIE" et augmente avec la vitesse de déplacement (ce que nous préférons appeler "force d'inertie cinétique").
2°) L'UNIVERS CRÉE L'ENERGIE QU'IL UTILISE.
La loi de conservation de la matière et de l'énergie, telle qu'elle est énoncée en Physique, revient à dire que " rien ne se perd et rien ne se crée ", ni matière ni énergie. Un corps ne pourrait donc se mettre en mouvement ni s'accélérer tout seul, sans consommer une énergie équivalente à celle qu'il a créée.
Etant donné que la science officielle, malgré le supposé big bang, ignore d'où peut venir l'énergie utilisée pour faire tourner éternellement à des vitesses phénoménales un nombre incalculable d'astres énormes, les masses et les mouvements constatés dans l'univers lui apparaissent comme des données éternelles. On peut seulement les transformer, déplacer ces énergies, les échanger. La science physique, par nature, interdit donc de découvrir leur origine "première" qui n'existerait pas selon elle. Le big bang n'est pas l'origine de l'univers, mais la transformation d'un univers concentré vers un univers dilué, soit limité, soit infini.
Rappel : Il est tout à fait exact que l'on ne peut pas créer d'énergie supplémentaire dans l'univers "physique" tel qu'il est observé actuellement, mais cela est possible et même nécessaire, dans le domaine de la "métaphysique", au niveau des causes premières qui deviennent la physique, c'est-à-dire en permanence, et sans discontinuité, ce qui a permis et ce qui permet la Création à partir de RIEN.
L'énergie cinétique se crée donc AVANT la physique. Nous allons précisément voir comment se construit cette loi de conservation, à partir des causes métaphysiques, dans le PRINCIPE-CRÉATEUR qui va devenir Univers, jouant admirablement le rôle de "Dieu".
La loi de conservation de la matière et de l'énergie, sur laquelle on s'appuie pour affirmer que le mouvement perpétuel est impossible à réaliser, commence à régner lorsque le " mouvement perpétuel " qui se manifeste en chacun des points de l'infini, parvient à sa perfection finale dans un équilibre IRREVERSIBLE et en perpétuelle recherche de stabilité totale.
L'univers est alors réalisé.
Du fait qu'à toute action répond alors une réaction égale et de sens contraire, ceci devient le principe de conservation qui s'opposerait à toute création d'énergie continue par mouvement perpétuel, sans consommation, l'atome utilisant ses propres ressources.
Or, un mouvement perpétuel se caractérise par un déséquilibre permanent des forces en présence (voir notre " chaos"), jusqu'au moment où l'équilibre parfait s'instaure (univers), éliminant tout déséquilibre dans ce "chaos". Cet équilibre est préservé par un ensemble de mécanismes qui s'opposent à toute création d'énergie ou de matière supplémentaire au niveau de la physique.
La loi de conservation de la matière et de l'énergie, c'est donc le mouvement perpétuel lui-même, alors que curieusement, il s'y oppose.
Si l'univers, et tout système atomique, peuvent être qualifiés de mouvements perpétuels, c'est précisément parce qu'ils créent leur propre énergie cinétique, c'est-à-dire leurs propres mouvements, en partant du repos le plus absolu, et jusqu'à ce que leur équilibre global soit atteint, formant atomes et systèmes planétaires. Et justement, cela se produit AVANT l'univers en tant que tel.
Nous verrons pourquoi le Principe-Créateur engendre une énergie croissante sans consommation, ce qui n'a rien de comparable avec la mécanique courante.
3°) LA GRAVITATION EST D'ORIGINE "MAGNÉTIQUE"
A titre de rappel, l'autre loi qui n'est pas encore née au moment où nous voyons l'univers se constituer, c'est la loi de gravitation, qui n'est pas une loi en tant que Loi, mais une conséquence de la DUALITÉ magnétique. La gravitation apparaît seulement après la naissance de la physique, en tant que "conséquence", et non en tant que "cause".
Elle est interprétée par NEWTON et ses successeurs, comme une loi d'attraction universelle à l'image de la PESANTEUR. Mais nous allons démontrer de façon indubitable, que la pesanteur est "magnétique" et dualiste.
Selon NEWTON, "Tous les corps s'attirent en raison directe de leur masse (plus la masse est grande, plus ils s'attirent); et en raison inverse du carré de leur distance " (pour une distance entre eux deux fois plus grande, ils s'attirent quatre fois moins).
Il n'est pas question, dans cette formulation, de répulsion, qu'elle soit universelle ou non, ce qui est une erreur, car toute "chose" possède en elle-même, son inverse indispensable et absolu. Sinon se posera éternellement le problème de son apparition. Il se pose déjà depuis trois cents années sans l'ombre d'une solution valable par la physique.
Albert EINSTEIN a tenté une explication de la gravitation par la déformation de l'espace ; mais il est tombé dans le piège d'une autre attirance...Par la gravitation elle-même, sans en avoir conscience.
Car en supposant un drap tendu sur lequel on pose une première masse qui déforme le drap creusant un entonnoir, une seconde masse passant à proximité ne peut s'engouffrer dans cet entonnoir que par son "poids", et donc par "gravitation" ou pesanteur qui sont de même nature que l'attraction magnétique, car cet espace fût-il courbe, s'il n'y a pas pesanteur, il n'y a aucune raison de suivre cette courbe si on est immobile. On doit pouvoir rester immobile même dans un espace courbe.
Mais si cette seconde masse est "poussée" vers la première par le milieu éthérique qui emplirait l'infini, cette poussée se produira UNE SEULE FOIS ; et ensuite l'entonnoir sera comblé, et alors, terminée la ''gravitation''.
Il est légitime pour la physique, de vouloir rendre compte de l'attirance à partir de la "matière", mais c'est considérer la matière comme étant une chose originelle, et là est l'erreur, même avec l'anti-matière imaginaire, au même titre que la gravitation qui ne saurait être originelle sans sa contrepartie équivalente.
Matière et antimatière ne peuvent se justifier que par leur unité inséparable.
En réalité, nous avons vu dans nos développements précédents que la bipolarité de toute énergie est une règle absolue. Toute énergie est forcément attractive et répulsive. Etre ainsi dualiste, permet de rester nul en soi, et donc d'être explicable à partir du néant, y compris bien entendu, l'EFFET de matière.
TOUTE ENERGIE EST BIPOLAIRE, TOUTE MASSE EST ENERGIE, DONC TOUTE MASSE EST BIPOLAIRE. Toutes les théories contraires se heurtent à une impasse.
Il ne saurait y avoir une seule planète ou particule atomique, qui soumette tout autre corps à attraction, sans répulsion équivalente.
L'attraction est une énergie "mentale". Elle ne peut être compensée que par une énergie contraire tout aussi "mentale", comme nous l'avons déjà démontré.
On n'a cependant jamais vu la Terre repousser une pomme vers le ciel... A moins que cette pomme ne se trouve à très grande distance de la Terre, là où elle peut retrouver l'autonomie de ses deux polarités magnétiques.
Tant qu'elle se trouve enveloppée par le champ magnétique de la Terre, beaucoup plus fort que le sien, il y a disproportion entre la masse de la Terre et la masse de la pomme, et l'attraction parvient à être toujours dominante, d'où l'effet de PESANTEUR. La pomme fait ainsi partie intégrante de la Terre, au même titre que n'importe quel grain de sable. C'est ce qu'on appelle "l'envoûtement" magnétique : La répulsion est alors inopérante, mais toujours présente. Cet effet de "pesanteur" unipolaire est une première forme de gravitation qui a trompé NEWTON et le monde entier.
Par contre, lorsque les masses sont relativement comparables, et très éloignées l'une de l'autre comme la Terre et la Lune, chacune des masses dispose de son autonomie dualiste magnétique. Elles sont donc susceptibles de s'attirer et de se repousser. Si elles paraissent uniquement s'attirer, c'est du fait de leurs mouvements relatifs dont nous avons amorcé l'explication ; et nous nous en expliquerons bientôt.
Mais auparavant, signalons que chacun peut faire une expérience très simple qui prouve absolument que la PESANTEUR est également RÉPULSIVE. Il ne fera en cela rien de scandaleux, puisque des astronomes ont découvert en 1984, le caractère ondulatoire de l'énergie gravitationnelle provenant du Soleil. Il sera bientôt admis que ce qui est ondulatoire est forcément dualiste. L'expérience suivante les aidera à gagner un Prix Nobel de plus.
Il suffit pour cela de construire une boussole dont l'aiguille, contrairement aux boussoles classiques, ne tourne pas dans un plan horizontal mais dans un plan vertical. L'axe sur lequel est fixée l'aiguille est donc horizontal et non vertical. Cette aiguille est simplement un long rectangle d'acier de faible épaisseur, neutre, parfaitement homogène et équilibré, l'axe passant par son centre de gravité. Il n'y a donc, censément, pas un côté plus lourd que l'autre.
Magnétisons cette aiguille à l'aide d'un fort aimant, quelle que soit la polarité utilisée. Elle acquiert aussitôt une polarité NORD et une polarité SUD, toutes deux de même valeur. On pourra bleuir l'une des moitiés de l'aiguille à l'aide d'une flamme pour séparer et distinguer les pôles. Le côté bleu sera le SUD.
Placée en position horizontale, comme une boussole normale, le Sud de l'aiguille (bleu) nous indique le Nord terrestre habituel.
Et maintenant, changeons la position de l'aiguille pour qu'elle puisse tourner verticalement sur son axe. Oh, surprise ! L'aiguille "pique" du nez vers le sol à quelques degrés de la verticale, direction Nord.
Que s'est-il passé ? Ce côté bleu serait-il plus lourd que le côté blanc ? Nous vérifions. Non, c'est le côté blanc qui est le plus lourd à très peu de chose près. Et pourtant, c'est lui qui pointe vers le ciel.
Enfin, ce n'est pas normal ; le côté léger descend, le côté lourd monte.
Étrange situation. Pourquoi cette différence insolite ? Certains penseront que cela est dû à la "déclinaison magnétique", le fait que les "lignes" constatées du "champ" magnétique de la Terre ne seraient pas horizontales. Evidemment, elles ne sont pas horizontales. Constater qu'une aiguille aimantée plonge en direction d'un pôle préférentiel intérieur à la Terre, n'est pas l'expliquer.
Alors, nous inversons les polarités de notre aiguille en la frottant sur le gros aimant. Cette fois, c'est le côté blanc qui pointe vers le sol, et donc le côté bleu qui indique le ciel.
C'est que tout simplement, le noyau central de la Terre est un gigantesque aimant possédant sa double polarité NORD-SUD, et non une masse purement attractive comme on nous l'enseigne.
Et bien entendu, si le pôle NORD du noyau attire le pôle SUD de notre aiguille, il faut aussi savoir que nous sommes à PARIS, dans l'hémisphère NORD de la Terre, et que le pôle NORD de l'aiguille, EST lui, REPOUSSE, malgré la "pesanteur", et malgré la différence de poids des deux polarités de l'aiguille.
Et bien entendu, si nous inversons les polarités de notre aiguille, cette fois, c'est le pôle Nord qui pique du nez vers le sol, et non plus le Sud, car il est devenu NORD à son tour, repoussé par le NORD du noyau terrestre, et regarde le Soleil au zénith.
Si l'attractions dite "gravitationnelle" terrestre ne faisait pas la différence entre Nord et Sud, il n'y aurait pas ces inversions, mais indifférence au côté présenté.
Ainsi, la preuve est faite que la "pesanteur" est également autant REPULSIVE qu'ATTRACTIVE.
Et pourtant, si nous libérons notre aiguille de son axe, ayant son pôle NORD pointé vers la Terre, elle tombera par "PESANTEUR", sans même se retourner, par disproportion de sa masse relative à celle de la Terre. Curieux, NON ? Mais explicable grâce à la dualité magnétique.
En outre, l'aiguille est légèrement inclinée par rapport à la verticale, indiquant exactement où se trouve le NORD du noyau terrestre, qui n'est plus la direction de l'étoile polaire, loin de là. Et de plus, si nous désirons avoir la direction exacte EST-OUEST, il nous suffit de placer notre boussole de telle sorte, que l'aiguille se trouve "parfaitement verticale". Dès lors, son axe de rotation s'opposant aux influences des pôles du noyau terrestre, elle pique vers le centre du noyau terrestre du fait que son pôle SUD se trouve en parfait équilibre entre le NORD et le SUD.
Tout cela voudrait-il dire que la pesanteur sait faire la distinction entre un pôle NORD et un pôle SUD ?
Allons dans l'hémisphère Sud, si nos moyens nous le permettent, et voyons maintenant ce qui se passe.
Surprise : Notre aiguille se retourne à nouveau, agissant à l'inverse de ce qu'elle faisait dans l'hémisphère NORD, pointant alors son pôle NORD blanc vers le sol, attiré vers le SUD du noyau, tandis que l'autre, le SUD de l'aiguille, pointe vers le ciel.
On pourrait la faire tourner comme cela pendant des lustres, sans que personne ne s'en inquiète. Pourtant, c'est fondamental.
Cela veut dire que la pesanteur est magnétique, Nord et Sud ; et que donc, la gravitation n'est pas différente du géomagnétisme.
Ainsi, la preuve est faite que la gravitation ou pesanteur, attire une polarité et repousse l'autre selon celle qui lui est présentée.
La gravitation est donc dualiste, magnétique. La pesanteur a un Nord et un Sud. La Terre est comme tout autre corps, constituée d'énergie : elle est donc une masse d'énergie magnétique. A ce titre elle est équivalente à zéro, et on a donc raison de l'expliquer à partir du néant.
PROTONS-NOYAUX ET ÉLECTRONS-SATELLITES
Dans nos ouvrages, Proton et Electron conservent leur appellation, mais ce sont des aimants (donc bipolaires), et leur processus de fonctionnement est rigoureusement le même que celui des systèmes planétaires. Toute masse est aimant BIPOLAIRE, c'est-à-dire qu'aucune particule ne peut être "positive" sans être en même temps "négative" et inversement. En ce sens, nous nous opposons à la physique classique qui considère le proton comme étant chargé d'électricité positive. Or, il est tout-à-fait anormal et illogique, sachant que le positif repousse le positif, de croire que le noyau est formé de particules uniquement positives qui se seraient réunies ainsi, accidentellement, alors qu'elles se repoussent mutuellement.
L'ELECTRON est également exactement de même nature, nommé ainsi pour sa nature supposée uniquement "chargée d'électricité négative", afin qu'il soit attiré par le Proton supposé positif. Il est, selon la physique, tantôt en mouvement orbital autour du noyau, tantôt sans mouvement selon les besoins de la théorie du jour.
Or, s'il était sans mouvement orbital, il n'aurait aucune chance ou possibilité de demeurer à distance constante du noyau, et tout l'univers s'écroulerait.
Tout au moins s'écroulerait-il s'il pouvait exister dans ces conditions, alors que tout le monde comprendra que des atomes ayant à l'extérieur une couche négative, repousseraient bien évidemment tout autre atome à proximité, pourvu également de cette couche d'électrons négatifs. Dans ces conditions, aucune matière ne pourrait être constituée, aucun atome ne pouvant s'associer à aucun autre. Il n'y aurait donc pas d'univers digne de ce nom. Ce genre d'évidence, catastrophique pour la Physique officielle, est toujours soigneusement évacuée. C'est aux étudiants de demander des explications à leurs professeurs. On leur répondra sans doute que la Physique n'a pas encore tout découvert et qu'il reste des mystères inexpliqués. Mais si on fait confiance à la science, tout cela s'arrangera !
4°) L'ATTRACTION ENTRE LES MASSES PLANÉTAIRES DÉPEND DE LEURS MOUVEMENTS RELATIFS
Si l'attraction apparemment unipolaire est valable pour deux corps de masses disproportionnées, et à faible distance l'une de l'autre, il n'en est pas de même lorsque les corps sont des masses relativement comparables, et très éloignées comme les particules atomiques ou les masses planétaires ; car à ces distances, elles retrouvent leur AUTONOMIE magnétique, ou dès lors qu'elles ne sont plus envoûtées dans le champ d'un très gros aimant.
Dans ce dernier cas, l'attraction n'est pas automatique, car les masses peuvent également se repousser ; et la gravitation dépend des mouvements relatifs des deux corps. C'est le premier élément pour démontrer que la gravitation n'est pas une loi, mais la résultante de plusieurs lois inhérentes au Principe-Créateur.
Après la " loi de conservation ", c'est la " loi de gravitation " qui s'avérera n'être que l'effet de causes métaphysiques qui sont très différentes, agissant à l'inverse de ce dont on a l'habitude dans le monde physique.
Une autre expérience, un peu plus compliquée que la boussole, nous permettra de le prouver.
Elle se fait à l'aide d'un appareil constitué de la façon suivante : un premier aimant de forme oblongue, placé horizontalement, tourne sur un axe vertical placé en son milieu. Il est entraîné en rotation par un moyen quelconque, moteur ou autre, à vitesse moyenne constante.
Un autre aimant similaire, muni d'un volant qui augmente son inertie, est placé de même, à proximité, pouvant tourner librement sur son axe (il n'est pas entraîné par le moteur). Son axe est fixé verticalement sur un bras mobile parfaitement équilibré qui lui permet de s'approcher et de s'éloigner librement du premier.
Le même appareil vue de dessus
NEWTON nous dit que tous les corps s'attirent. Que le Soleil attire la Terre. Apparemment, c'est vrai.
On sait que la Terre tourne, on sait aussi que le Soleil tourne. On sait aussi, maintenant, que ce sont deux aimants munis de leur double polarité. Mais pourquoi "gravitation" seule puisque l'énergie magnétique est dualiste, et que la première vient de la seconde ?
Nos deux aimants sont pour le moment livrés à eux-mêmes ; (le moteur est éteint). Quelle que soit leur position de départ, ils s'arrangent pour maximiser l'attraction en rapprochant le plus possible deux pôles opposés face à face. Le bras mobile permet ce rapprochement (on aura placé une butée pour que les aimants ne se touchent pas), et les axes permettent spontanément aux pôles de se placer face à face, un pôle de l'un face au pôle contraire de l'autre.
NEWTON a raison : Nos corps s'attirent. Mais si l'un d'eux fait un demi-tour, présentant son autre pôle, ils se repoussent. C'est pour cette raison que gravitation et champ magnétiques sont incompatibles au physicien. Pourquoi cette différence ? Nous allons le savoir.
Faisons maintenant tourner le premier aimant sur lui-même à l'aide du moteur. L'autre ne comprend plus. Il lui est présenté successivement un pôle Nord puis un pôle Sud, au fur et à mesure de la rotation. Mais lui n'est pas entraîné à tourner. Sollicité par les attractions et répulsions alternatives, il se balance un peu. Mais alors qu'auparavant, les deux aimants stabilisés s'attiraient fortement, ou se repoussaient, maintenant, ils sont plus dociles et indifférents. On peut placer le second aimant à quelque distance que ce soit de celui qui tourne, il restera là, ne cherchera plus à se rapprocher, ni à s'éloigner outre mesure, attiré et repoussé successivement avec la même force. Apparemment, il n'y a plus attraction entre ces deux aimants pourtant puissants et très peu éloignés, et la répulsion semble stabilisée.
Deux corps ayant une forte concentration énergétique (comme deux aimants) trouvent le moyen de ne pas s'attirer, simplement parce que l'un d'eux tourne, et présente alternativement un pôle en attraction et un pôle en répulsion à l'autre. Ce dernier, évidemment, présente toujours le même pôle malgré quelques hésitations, n'ayant pas le temps de tourner sur lui-même, retenu par son inertie...Et se balance légèrement... (comme la Lune).
NEWTON n'a donc plus tout à fait raison.
Et alors ? Et alors rien. C'est effectivement normal. L'attraction dite universelle n'a plus de raison d'être entre toutes les masses ; car nous allons montrer que gravitation et magnétisme sont de même nature dualiste. Et cela redevient intéressant si l'on fait aussi tourner le second aimant, et en particulier si on le fait tourner sur lui-même à la même vitesse que le premier ; de sorte que lorsque le premier fait UN tour, le second fait de même, UN tour, et non pas un peu plus ou un peu moins. Cela amène chaque pôle à avoir toujours en face de lui, un pôle en attraction dans un mouvement de rotations synchronisées, ce qui se produit d'ailleurs "spontanément" les deux aimants cherchant à se maintenir en HARMONIE permanente des rotations polaires.
Alors, NEWTON a de nouveau raison ; les deux aimants s'attirent et s'attirent aussi fortement que lorsqu'ils ne tournaient pas.
Si l'on veut éloigner le second aimant, il résiste. Si on l'éloigne quand même, il revient se coller au maximum contre le premier.
Étonnant, non ? Comme disait Monsieur Cyclopède. Où est donc passée la répulsion ?
Continuons l'expérience, et faisons tourner l'aimant qui n'est pas entraîné par moteur (et peut s'éloigner grâce à son bras mobile) plus vite ou moins vite que le premier qui a une vitesse moyenne constante de rotation.
NEWTON a de nouveau tort ! Les deux corps ne s'attirent plus. Le second n'a que faire du premier. Il restera à la distance où on le mettra sans opposer ni résistance ni volonté de changement, dans un léger mouvement de va et vient, selon les alternances des polarités en présence.
En fin de compte, il n'y a eu attraction que dans deux cas sur quatre, entre nos deux aimants : d'abord lorsqu'aucun des deux ne tournait, ensuite lorsqu'ils tournaient tous les deux en bonne harmonie, c'est-à-dire lorsqu'il y avait SYNCHRONISME SYMÉTRIQUE DES ROTATIONS POLAIRES.
Dans ces deux cas, il y avait en permanence attraction, et seulement attraction visible, alors que personne ne niera que ces aimants possèdent tout autant la faculté de se repousser.
Dans les deux autres cas, il y avait tantôt attraction, tantôt répulsion, avec la même intensité, et finalement indifférence entre les deux aimants, malgré leur puissance magnétique et leur proximité.
Alors, NEWTON a-t-il raison ou tort ? Peu nous importe.
Il a raison dans la mesure où sa loi de gravitation constate deux faits : D'une part, la pomme est attirée par la Terre ; d'autre part, la Terre est attirée par le Soleil. La pomme correspond au cas où deux aimants immobiles ou "disproportionnés" sont à proximité l'un de l'autre. Ils sont en attraction et tombent l'un sur l'autre, quelles que soient leur position de départ. Il y a " envoûtement " dès l'instant que le champ magnétique de la plus grande masse enveloppe tout le champ de la petite.
La Terre par rapport au Soleil correspond à l'autre cas : Ce sont des masses relativement comparables et très éloignées. Le Soleil, comme la Terre, tourne sur lui-même. Ils se trouvent à 150 millions de Km l'un de l'autre. Cela, tous les savants le savent, mais ignorent pourquoi la Terre tourne. Ils ignorent aussi, et c'est plus ennuyeux, que si le Soleil tourne et la Terre aussi, alors que visiblement ils s'attirent mutuellement, CELA IMPLIQUE IMPERATIVEMENT QUE SOLEIL ET TERRE TOURNENT EN SYNCHROISME SYMETRIQUE de leur noyau magnétique, c'est-à-dire que si la Terre montre un nouveau pôle au Soleil toutes les douze heures, c'est parce que le Soleil présente au même moment son pôle opposé (toutes les douze heures également). SINON, LE SOLEIL NE POURRAIT PAS ATTIRER LA TERRE, la gravitation n'étant pas une force réelle en soi. Notre appareil le prouve, et prouve que l'effet répulsif, bien qu'existant, ne se manifeste pas visiblement dans l'univers planétaire. C'est ce que NEWTON croit être l'attraction universelle, et qu'il croit également à tort, différente de l'energie magnétique.
Car cela est vrai pour les centaines de milliards de planètes et d'étoiles de toutes les galaxies. Chaque galaxie a son propre rythme de rotation généralisé, ou "fréquence vibratoire", au même titre que l'atome. Dans le cas du Soleil (ou de toute autre étoile), il s'agit évidemment de la rotation du noyau, qui est un aimant puissant, très dense et très concentré, contrairement au "magma" qui l'entoure. (le magma est moins concentré et donc moins magnétique). Il n'y a pas de coupure nette entre noyau et magma, c'est une continuité. C'est ainsi le noyau solaire qui tourne en synchronisme avec celui de la Terre, en vingt-quatre heures ; et ce qui délimite ce noyau, c'est cette possibilité de synchronisme par rapport à la partie du magma qui est incapable de suivre en raison de son énorme volume, 1.400.000 kilomètres de diamètre, et semble-t-il, 300.000 fois la masse de la Terre.
Le noyau solaire serait environ de 30.000 fois la masse de la Terre.
Le Soleil a donc une masse énorme à entraîner, et si la surface de la Terre parvient à tourner à peu près à la même vitesse que son noyau, il n'en est pas de même pour le magma solaire.
Si c'était le cas, il exploserait, vu son énorme volume. La masse à entraîner oppose une résistance, une inertie telles, qu'elle ne peut en grande partie, suivre le rythme du noyau. Entre un noyau rapide et une surface lente, prend place un frottement continu, source de chaleur intense, qui a progressivement transformé la matière solaire en un magma bouillonnant.
Nous constatons ainsi que les cent milliards d'étoiles et planètes
de notre propre galaxie, tournent au niveau de leur noyau central, en 24 heures ou par déphasage de deux en deux, soit 48, 96, 192 heures ou plus encore, selon l'importance de leur masse. Et d'autres, plus rapidement, toujours par déphasage de deux en deux. Ainsi, quel que soit le nombre d'éléments contenus dans un système cohérent, toutes les masses sont de même synchronisées en rotation de tous les noyaux. C'est ce qui constitue d'une part l'attirance mutuelle des masses, et d'autre part ce qui conditionne la cohésion, la stabilité, le fait que les divers éléments ne peuvent ni se rapprocher ni s'éloigner intempestivement, et rendant tout système autonome, ne comptant que sur lui-même, sensible au milieu par "interpénétration" des champs magnétiques.
EINSTEIN pensait (comme tout le monde) que le Soleil tournait d'un bloc homogène, et ce serait effectivement logique en l'absence d'une bonne raison (synchronisme magnétique) pour que cette différence de vitesse se produise.
Mais si l'on voit la surface du Soleil tourner en vingt-cinq jours au niveau de son équateur, en vingt-sept jours à la latitude de quarante-cinq degrés, et trente à trente-cinq jours au niveau des pôles, cela prouve sans équivoque possible que le noyau central tourne plus vite que la surface.
Et c'est le frottement du noyau dans le magma, qui produit sa désintégration toutefois très lente, et la libération d'énergie magnétique qui se diffuse dans l'espace, produisant l'EFFET calorique par agitation de notre atmosphère, et l'EFFET lumineux par les vibrations du milieu. Le Soleil ne peut donc s'éteindre, et sa température est auto-stabilisée comme celle de toutes les étoiles, par le mécanisme auto-entretenu des rotations.
Une étoile n'est donc pas due à une explosion thermonucléaire "auto-contrôlée". S'il y a des émissions d'ondes ou des mutations moléculaires permettant d'en imaginer, il s'agit de conséquences de la chaleur par frottement du noyau dans le magma formant un gigantesque tourbillon.
Ce qui pousse son noyau à tourner en vingt-quatre heures, ce n'est pas seulement la Terre et les quelques autres planètes du système solaire, mais toutes les masses de la galaxie qui s'entraînent mutuellement par MOUVEMENT PERPÉTUEL, en rotation et en mouvement orbital les unes par les autres.. Sans synchronisme des rotations entre tous les astres d'une même galaxie, celle-ci aurait si peu de cohésion qu'elle n'existerait même pas.
Il serait temps que les astronomes se demandent pourquoi Mars tourne également en vingt-quatre heures trente-sept minutes à la surface ; pourquoi la Lune, Mercure et Vénus ont un mouvement de balancement alternatif qui s'inverse toutes les douze heures, et ainsi de suite. Lorsqu'on connaîtra bien toutes les planètes du système solaire, on verra que tous les noyaux tournent en harmonie. Les déphasages de deux en deux ne remettent pas en cause le synchronisme polaire.
La Terre tourne en 24 heures ; Mars, en 24 h 37 ; la Lune se balance (libration) découverte par GALILEE, en 24 h 50 ; Vénus et Mercure se balancent ou tournent en 24 heures ; sans aucune hésitation, le noyau central du Soleil en 24 heures plutôt qu'en 48 heures, ce qui est prouvé par les pendules du Pr Maurice ALLAIS, dont on parle dans notre livre "La Fin de l'Inconnaissable". Coïncidences, dira-t-on encore ? Jupiter, Saturne, Neptune, Uranus, en 12 heures probablement, puisque leur extérieur tourne, semble-t-il, en moins de 24 h.
5°) LA DEGRAVITATION OU SUPPRESSION
DU FREINAGE MAGNÉTIQUE.
Dernier élément théorique qu'il nous faut dégrossir avant d'expliquer la naissance d'un atome : l'effet "dégravitant". Il s'agit d'une loi découverte par Léon Raoul HATEM en 1955, déposée à l'Académie des Sciences de Paris, ainsi qu'à l'Institut National De La Propriété Industrielle, au même titre qu'un résumé de l'ensemble de la théorie de l'atome que nous sommes en train de développer.
Cette loi est d'une importance capitale ; elle est la Clé de toute la Connaissance, parce qu'elle permet de connaître le PRINCIPE-CREATEUR qui régit toute la Mécanique Universelle du Néant à l'Infini, rendant compte de tous les phénomènes physiques. et rend possible l'existence du mouvement perpétuel dans l'univers, mais AVANT que l'univers ne soit univers. C'est elle qui permet la création d'énergie cinétique dans les atomes eux-mêmes, et dans les systèmes planétaires et galactiques.
C'est elle également qui permet le synchronisme symétrique spontané des rotations, en combinaison avec la répulsion, et par conséquent, elle permet l'attraction entre astres et satellites, ce que NEWTON nomme la Gravitation ; ou entre particules atomiques : l'attraction, qui passe pour être électro-magnétique.
Alors qu'elle est purement magnétique et dualiste.
LA LOI DE DEGRAVITATION, EFFET HATEM.
"La dégravitation, ou effet dégravitant, se produit spontanément lorsque deux pôles en attraction (de deux aimants) s'éloignent simultanément l'un de l'autre avec des vitesses inversement proportionnelles à leur masse respective."
Ceci dans la mesure où masses et énergies sont correspondantes, car en fait, les masses ne sont pas toujours en relation exacte avec les énergies dont elles sont pourvues.
TOUT FREINAGE MAGNÉTIQUE EST ALORS SUPPRIME ENTRE LES DEUX PÔLES QUI SE LIBÈRENT L'UN DE L'AUTRE, COMME SI L'EFFET ATTRACTIF ÉTAIT INOPÉRANT
Ceci se produit lorsque deux particules atomiques ou étoiles faisant partie d'un ensemble cohérent et formant couple, tournent en synchronisme symétrique polaire, et dont deux pôles opposés s'éloignent simultanément l'un de l'autre, tandis que les deux autres pôles se rapprochent de même.
C'est par leur FORCE D'INERTIE mutuelle qu'ils peuvent s'éloigner. Il est nécessaire que leur force d'inertie "cinétique" respective soit supérieure à l'attraction qu'ils subissent chacun de la part de l'autre (sinon, ils ne peuvent s'éloigner et reviennent l'un vers l'autre).
Autrement dit, lorsque deux pôles attractifs sont en équilibre stable en suspension dans l'espace, et maintenus à distance par une force qui les empêche de se rapprocher, lorsque l'un d'eux s'éloigne un tant soit peu, l'autre se sent libéré et s'éloigne très rapidement, tiré par la force qui le retenait, et qui elle, n'a pas varié, tandis que l'attirance a diminué par éloignement de l'autre pôle. C'est de là qu'est née la Dégravitation ou Désattirance dont nous allons reparler.
ATOME BINAIRE DE BOHR
ET GRAVITATION NEWTONIENNE,
DEUX ILLUSIONS RÉSULTANT DES EFFETS MAGNÉTIQUES
C'est pourquoi la mécanique de NEWTON, comme l'atome de BOHR, sont instables, fragiles, précaires, du fait qu'ils sont des systèmes semblables où seule l'attraction agit entre les masses, et maintenus en équilibre "apparent" par le mouvement orbital dû à une vitesse initiale.
Ils sont parfaitement comparables à cet équilibre impossible à réaliser entre deux forces opposé et égales livrées à elles-mêmes dans l'espace, et donc sont aussi fragiles que des billes posées en équilibres sur d'autres billes. Essayez donc avec toute votre patience et votre intelligence. Vous n'y arriverez pas. Alors comment l'imaginer à partir d'une simple lancé initiale à la volée ! Il faudrait vraiment un "miracle divin" pour y arriver. Une fois de plus, la Science conduit à imposer l'idée de "Dieu", faute d'explication convenable.
Ne pas confondre les satellites artificiels avec les satellites naturels qui n'ont rien de commun dans leur fonctionnement, et qui sont d'ailleurs provisoires, alors que les satellites naturels sont tous éternels dans leur principe mécanique.
Aussi, revenons à notre expérience sur la dégravitation, avec quelques précisions "mathématiques" sommaires.
Supposons deux pôles attractifs dont l'un (A) s'éloigne de l'autre pôle (B) qui demeure fixe.
Par attraction mutuelle, le pôle (A) est ralenti de QUATRE fois sa vitesse pour deux fois plus d'éloignement de (B) , à partir de leur point de rencontre.
De même, l'attirance magnétique sera quatre fois moins forte entre les deux pôles pour une distance double (COULOMB).
Mais supposons que les deux pôles s'éloignent simultanément l'un de l'autre selon la Loi de Dégravitation énoncée plus haut.
Chaque fois que (A) aura parcouru DEUX fois plus de chemin à partir du point de rencontre, et que (B) en aura fait autant, la distance qui séparera (A) de (B) sera QUATRE fois plus grande parce que le point de rencontre (B) se sera éloigné de la même distance.
Ainsi, le chemin étant le même pour chaque pôle, la distance sera spontanément DOUBLÉE de l'un à l'autre ; et par suite, au lieu de QUATRE fois seulement, l'attirance sera SEIZE fois moins forte que si (B) était demeuré fixe au point de départ.
Reprenons ce petit problème qui vous a forcément choqué par sa nouveauté :
Le pôle (A) s'éloigne de (B) qui est fixe. L'attirance est par exemple :
F= ¼
Et maintenant, c'est (B) qui fait le chemin correspondant et s'éloigne de (A) qui lui, maintenant, reste fixe.
La distance se trouve donc doublée sans que (A) ne se déplace, et l'attirance de ce fait, tombe à F= 1/16 Et non plus à 1/4 pour le même chemin parcouru par un seul pôle, soit pour DEUX fois plus de chemin parcouru au total, SEIZE fois moins d'attraction.
Que nos Amis lecteurs se penchent sur ce petit problème, et ils constateront que lorsque les deux pôles s'éloignent simultanément l'un de l'autre, chaque pôle LIBERE l'autre pôle et supprime le freinage de l'un sur l'autre.
La suppression du freinage est due à la diminution équivalente de l'effet attractif. La dégravitation est donc une compensation entre attraction et éloignement (alors que l'attraction devrait rapprocher), d'où neutralité. Exactement comme si vous ralentissiez votre vitesse au fur et à mesure que votre point de départ s'éloignerait de vous. Le résultat serait le même que si vous n'aviez pas ralenti, votre point de départ restant en place. Absence de freinage.
C'est un phénomène subtil mais extrêmement simple, profondément dissimulé dans la mécanique universelle, presque indécelable. Pour le découvrir, il faut avoir la patience et la folie de chercher à réaliser un "mouvement perpétuel". En effet, atome et système planétaire sont des "mouvements perpétuels" autoentretenus ; et ils sont les seuls. Apparemment, on en peut pas en réaliser physique. Ce qui indique bien que l'atome est une réalité non pas physique mais métaphysique, ou plutôt "proto-physique".
ET POURTANT ILS TOURNENT, dirait un Collègue
Pour faire la démonstration de la capacité de cette suppression du freinage magnétique à produire du mouvement et du travail sans consommation d'énergie, et donc pour montrer qu'au bout du compte, l'univers n'a pas besoin d'une propulsion de départ, qu'il consommerait ensuite ("big bang"), nous avons construit plusieurs appareils expérimentaux qui montrent indubitablement la réalité de notre Principe-Créateur.
Un aimant entraîné par un minuscule moteur (dans le cosmos libre, il n'y a pas de moteur, cela se lance tout seul (comme des aimants livrés à eux-mêmes se mettent en attraction sans qu'on les y pousse), mais pour réaliser un appareil, les contraintes physiques sont autres), tourne à une vitesse constante.
Ce premier aimant présente alternativement chacun de ses pôles à d'autres aimants, et les entraîne à distance, quel que soit leur nombre.
Aussi longtemps que l'aimant moteur tournera, les aimants "libres" tourneront aussi, et ne se désynchroniseront même pas. Ils parviennent donc à vaincre les résistances mécaniques, ce qui prouve que l'accélération est nettement plus forte que le freinage. Ce freinage est donc bien, d'une façon ou d'une autre, inopérant. Et mieux encore, chaque "couple" considéré produit de l'énergie cinétique ; car chacun sert de moteur au suivant, par simple utilisation de son champ magnétique ; ce qui démontre que ce n'est pas le moteur qui entraîne les aimants qui se trouvent en dixième ou quinzième position dans le système. Et en effet, si nous essayons de les freiner à l'aide d'un moyen mécanique, ils résistent au freinage sans se désynchroniser.
C'est la Loi de Dégravitation qui explique ce mystère.
On pourrait ainsi placer des milliers d'aimants et bien plus encore et il ne viendrait à l'idée d'aucun Physicien, d'imaginer que des tonnes d'aimants puissent tourner tout seuls, simplement parce qu'un petit aimant est entraîné par un moteur ridiculement faible se trouvant à des kilomètres de là, et les maintient seulement à une fréquence moyenne constante à l'image d'un atome.
Cet appareil permet à des dizaines d'aimants de tourner sans aucune consommation d'énergie grâce à un seul d'entre eux entraîné par un minuscule moteur. On pourrait faire ainsi tourner des tonnes d'aimants sur des kilomètres avec une pile de 1,5 volt. Ce qui montre que si l'univers est constitué d'aimants, il n'a aucune besoin de consommer une énergie de départ pour fonctionner. Chaque couple d'aimants crée sa propre énergie.
C'est donc ici encore, par les pôles en attractions, que les vitesses de rotations s'accélèrent, puisque la dégravitation est une suppression du freinage magnétique, laissant l'attraction des deux autres pôles agir librement.
Ce sont eux qui produisent cette accélération ; et de ce fait, nos aimants s'attirent au détriment des répulsions qui ne se manifestent que faiblement, ou pas du tout.
Comme nous l'avons étudié auparavant, le système est un équilibre ternaire établi sur trois éléments :
1. la dualité magnétique
2. l'harmonie des rotations,
3. le mouvement orbital,
Nous pouvons remarquer que la dualité magnétique combinée de l'harmonie des rotations se manifeste par une attraction "pure" et "simple", du moins en apparence, que NEWTON a cru être la gravitation ; et que le mouvement orbital est en fait produit par entraînement magnétique, passant pour un lancement initial et surtout accidentel ; car aucune intelligence ne pourrait produire cette lancée dans le but précis de faire tourner une masse autour d'une autre masse. Mais curieusement, cela ressemble trait pour trait, au "principe de NEWTON", qui n'est pas un principe mais une résultante.
D'ailleurs, la science a compris l'impossibilité d'un tel équilibre, puisqu'elle admet que ce "principe" n'a qu'une seule chance sur dix millions de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards, pour se réaliser, soit UNE sur DIX suivi de soixante zéros. Et pourtant, elle y croit dur comme fer.
Si l'univers était totalement arrêté ; s'il était réduit à néant, il se recréerait spontanément à partir de ce même néant, avec des atomes et des systèmes planétaires et d'immenses galaxies peuplées d'êtres vivants de toutes natures.
Ainsi, l'univers ne peut pas ne pas exister tel qu'il se présente à nos yeux.
Ne soyons donc pas étonnés de voir des galaxies composées de centaines de milliards d'étoiles, et probablement de beaucoup plus encore de planètes, tourner perpétuellement sans rien consommer. Chaque couple produit nécessairement et aussi incontestablement sa propre énergie cinétique.
Sans la DEGRAVITATION, pas une seule particule ne tournerait, et si certaines tournaient par accident, elles seraient tout à fait incapables d'en attirer aucune autre. Sans la dégravitation, point de gravitation. Point d'univers.
N. B. : Il est possible de voir fonctionner tous les appareils dont il est question dans ce chapitre, ET QUI PROUVENT EFFECTIVEMENT QUE L'ENERGIE PEUT ETRE CREEE DE CETTE FAÇON, sur video ou mieux EN VRAI sur simple demande adressée à :
ACADEMIE DE LA ROZEILLE
BP 50013
77221 - TOURNAN cedex (France)
(E mail : ROZEILLE.HATEM@wanadoo.fr)
A présent, nous disposons de tous les éléments pour expliquer comment naît un atome. Pour cela, RENDEZ-VOUS CI-DESSOUS.
COMMENT NAIT L'UNIVERS PHYSIQUE
POURQUOI LES PROTO-PARTICULES SE METTENT A TOURNER
Revenons quelques instants en arrière pour préciser que la Suppression du freinage magnétique ne signifie pas suppression de l'attraction entre les pôles qui s'éloignent. La réciprocité du mouvement rend cette attraction inopérante uniquement sur le plan du freinage.
Rappelons quelques points essentiels :
1 °) L'énergie est mouvement LIMlTÉ, et par conséquent elle a une INERTIE ;
2°) L'atome ne consomme aucune énergie extérieure. Il est sa propre source d'énergie CINÉTIQUE. Il en est de même de tout système planétaire, comme nous l'avons dit, puisque chaque masse est de fait "partie intégrante" du système, et "étrangère" à chacune des autres masses. C'est ce qui justifie que l'atome comme le système planétaire sont des mouvements perpétuels dont chaque masse est entretenue dans son mouvement par toute autre masse se trouvant à distance. Il n'est pas inutile de le rappeler, tant est importante cette précision qui échappe à la physique.
3°) Toute particule est autant répulsive qu'attractive ;
4°) Lorsque deux particules tournent, il ne peut y avoir attraction permanente entre elles, que si leurs mouvements polaires sont synchronisés ;
5°) L'attraction entre deux pôles magnétiques qui s'éloignent simultanément l'un de l'autre, ne freine pas leur mouvement.
Toute notre histoire part de deux AIMANTS que l'on suppose isolés dans l'espace. Pour fixer les ordres de grandeur, disons que l'un est un aimant du diamètre de la Place de la Concorde à Paris, et l'autre, un ballon de basket flottant sur la grande banlieue. Cette image est reconnue scientifiquement.
Le premier, qu'on appelle " PROTON ", représente le NOYAU comme étant classiquement le centre d'un atome d'hydrogène ; mais dans notre conception, le noyau est toujours une masse UNIQUE dotée de sa double polarité magnétique comme toute autre masse.
Le ballon de basket (qu'on appelle ELECTRON) est de même un aimant complet doté de sa double polarité NORD-SUD.
Pour des raisons expliquées dans "LA FIN DE L'INCONNAISSABLE", les cosmos se trouve nécessairement constitué de concentrations d'énergie magnétique très espacées les unes des autres, les "proto-particules". Lorsqu'elles constatent la présence les unes des autres, elles ne peuvent faire autrement que de tenter d'aligner leurs pôles magnétiques en attraction maximum. N'importe quel aimant en ferait autant.
Pour d'autres raisons également expliquées dans nos ouvrages, chaque fois qu'elles ne se trouvent pas à distance suffisante, ou si elles ne sont pas situées approximativement dans le même plan équatorial, ou si leurs axes des pôles sont trop parallèles ou pas assez, elles tombent les unes sur les autres pour constituer des proto-particules plus grosses. Le résultat est que ne se trouvent en fait en présence que des proto-particules en état de constituer des mouvements perpétuels.
Les distances sont considérables comparativement aux masses. Il s'ensuit que les forces magnétiques en présence sont très faibles.
Mais suffisantes pour que les proto-particules placent leurs pôles dans un même plan (deux sur une ligne en haut des sphè, deux en bas) en attraction maximum, créant tout de suite un axe de rotation gyroscopique. Cela étant, la faiblesse de ces forces fait qu'immédiatement, la "force d'inertie cinétique" (élan) acquise à l'occasion de cette première mise en mouvement, est supérieure à la force d'attraction. Sinon, il y a chute.
Lorsqu'il n'y a pas chute, donc, ce plan d'attraction maximum est atteint, mais l'inertie pousse les proto-particules à dépasser cette position, au lieu d'y rester. A condition que l'élan soit suffisant toujours, sinon il y aura chute.
Vous avez peut-être déjà compris ce qui va se passer : les pôles qui s'attiraient de plus en plus commencent donc à s'éloigner alors que les deux autres pôles, qui s'éloignaient, commencent à se rapprocher.
Voir dessin.
Or, entre les pôles qui s'éloignent maintenant, ON SAIT QU'IL N'Y A PAS FREINAGE MAGNÉTIQUE (dégravitation), alors qu'entre les deux pôles qui maintenant se rapprochent, IL Y A SUR-GRAVITATION : deux fois moins de distance, seize fois plus d'attraction, symétriquement à la dégravitation et pour des raisons analogues.
Le résultat est que, si d'aventure, la position du plan idéal est dépassée un tant soit peu, c'est fini, plus jamais les masses ne vont cesser d'accélérer leur mouvement de tour en tour. Et cela va s'accélérer très vite.
Voilà que nos deux protagonistes ne sont déjà plus des "proto-particules", mais elles sont de véritables particules, puisqu'en rotation, cette rotation faisant qu'elles peuvent être perçues de l'extérieur du fait de l'onde alternativement Nord-Sud que leur rotation leur fait émettre.
On pourrait penser que cette accélération va être infinie jusqu'à l'explosion, mais il n'en est rien parce que ces particules sont libres et tentent de se rapprocher. Mais elles tournent, et ce rapprochement ne se fait plus en ligne droite : ainsi va naître le mouvement orbital.
LES MOUVEMENTS ORBITAUX
Le dessin ci-dessus montre sommairement le mécanisme simple d'entraînement du satellite, Electron ou planète, autour d'un noyau central. Il suffit de connaître même superficiellement, les fonctions magnétiques pour en comprendre le mécanisme.
Rappelons qu'en tournant par entraînement mutuel l'un autour de l'autre, le Proton supposé plus important sera le noyau, et aura moins de mouvement à faire pour tourner autour de l'Electron. Inversement, l'Electron plus petit tournant autour du Proton, devra parcourir une grande distance orbitale.
Autrement dit, si chaque masse tourne autour de l'autre, c'est bien qu'elles sont entraînées l'une par l'autre. Et seule la dualité magnétique peut permettre ce prodige, car c'en est un : Faire tourner une bille autour d'une autre bille, et non les mettre en équilibre l'une sur l'autre.
Appareil montrant l'entraînement orbital par un aimant tournant central.
Par l'observation et les mathématiques, il est effectivement démontrable que les masses d'un couple, tournent chacune autour du Centre de Gravité de l'ensemble (ce qui n'est évidemment pas le cas dans l'appareil ci-dessus, mais montré dans le dessin ci-dessous). Et si les masses étaient simplement en attraction, ce serait impossible, elles fuiraient chacune de leur côté (dégravitation).
POURQUOI LA MATIÈRE RÉSISTE
LA LIMITATION AUTOMATIQUE DES VITESSES DE ROTATIONS
Les masses sont donc entraînées en mouvements rotatifs de plus en plus accélérés les uns par les autres. De ce fait, il est normal de se demander où va s'arrêter cette accélération ; mais il fut un temps où la physique estimait que l'électron qui se mesure en dix millionièmes de millimètre, parcourait des orbites de 30.000 kilomètres à la seconde. Et considérant le fait qu'il y a cinq millions d'atomes alignés sur un millimètre, cela peut maintenant s'expliquer. Il y aurait même des étoiles qui se trouvent en bout des bras des nébuleuses spirales, qui atteindraient la vitesse effarante du million de kilomètres à la seconde. Cela ne saurait nous étonner, car si la lumière ne peut dépasser cette limite, il n'y a aucune raison fondamentale pour qu'il en soit de même de la matière. Plus les sciences avanceront, plus on rencontrera d'objets allant à de vitesses beaucoup plus grandes que la lumière.En l’occurrence, l'entraînement mécanique par champ magnétique autour d'un centre peut fort bien dépasser autant que nécessaire la vitesse de la lumière.
Ainsi qu'on l'a montré plus haut, les particules en rotation (spin) et en mouvement orbital autour des noyaux sont AUTO-ACCÉLÉRÉES dans leurs mouvements. Mais si leur vitesse est en fin de compte stabilisée, c'est parce qu'elle est compensée par un RALENTISSEMENT qui donne sa stabilité à l'atome. N'avons-nous pas dit que lorsque les rotations commençaient à s'amorcer, les masses se mettaient également en mouvement orbital l'une autour de l'autre ?
Eh bien, si les rotations accélèrent, les mouvements orbitaux font de même. Et il arrive un moment où à force d'augmentation, les satellites entraînés par FORCE CENTRIFUGE par les noyaux, se trouvent de plus en plus éloignés. Alors, les forces magnétiques diminuent encore d'intensité, ce qui a pour effet de RALENTIR les rotations et donc de freiner l'ensemble, y compris, ensuite, le mouvement orbital.
Il s'ensuit que l'accélération des rotations se stabilise à un niveau de compromis, les forces centrifuges se stabilisant également à une distance définie, et nous voyons nos satellites parvenus à leur limite maximale, ne pouvant ni la dépasser, ni revenir en arrière, dans un équilibre IRRÉVERSIBLE. Si une influence extérieure intervient, augmentant l'énergie, l'augmentation de la force centrifuge se chargera de l'éliminer et freinera. Si au contraire on lui ôte de l'énergie, la rétractation accélérera les mouvements, ce qui le restabilisera dès que l'influence aura cessé.
C'est donc la fin de l'accélération ; c'est la phase terminale de la formation de l'atome et du système planétaire ; c'est la naissance de l'univers et donc la naissance de la physique. Car jusqu'ici, nous étions dans un autre univers, celui de la MÉTAPHYSIQUE et de la PROTOPHYSIQUE, et donc AVANT que l'atome ne soit devenu "Matière physicalisée".
En fait, cet équilibre a lieu entre une accélération et une force centrifuge ralentissante, à un niveau de vitesse atteint progressivement, et qui ne peut plus ni augmenter ni diminuer. On a bien affaire à un mouvement perpétuel auto-entretenu, créant et régulant lui-même l'énergie qu'il utilise.
Voilà qui, sans aucun doute, donne à la matière, (en association avec le phénomène gyroscopique) une stabilité indestructible, ou presque, n'ayant rien de comparable avec la précarité de la matière si elle était régie par la mécanique newtonienne (équilibre instable entre deux seules forces livrées à elles-mêmes dans l'espace).
Vous pouvez donc vous appuyer sur votre coude, il ne va pas s'évanouir en poussière. L'univers ne va pas disparaître du jour au lendemain à la suite d'une pichenette. CAR IL N'EST PAS NE D'UNE PICHENETTE, FUT-ELLE DIVINE.
L'ABSENCE DE STABILITÉ DANS LES MODÈLES D'ATOME QUANTIQUE ET CLASSIQUE
Pour la science universitaire, l'atome est considéré stable lorsque les particules exclusivement chargées d'électricité positive ou négative distinctement, Protons et Électrons sont en nombre égal.
En fait, il ne faut pas confondre l'équilibre "électrique" avec l'équilibre "mécanique. Ces deux exigences n'ont aucun rapport. Etre élibré mathématiquement n'empêche pas qu'il faut aussi une stabilité mécanique. Elles n'ont aucune incidence l'une sur l'autre. Car il pourrait être vrai que d'une part l'équilibre électrique soit réalisé par l'égalité des valeurs positives et négatives ; mais cela ne conférerait pas le moindre équilibre mécanique au système. Le croire est une énorme aberration, le prétendre est une escroquerie intellectuelle.
Mais la théorie s'en accommode, et cela permet de CRÉER à partir de cette erreur. Il ne faut pas en douter. La Connaissance n'est pas indispensable à la Vie, sinon rien ne serait plus depuis bien longtemps, ou n'aurait jamais existé.
Car en fait, une fausse interprétation d'un phénomène, n'interdit pas d'en tirer certaines réalités.
Nous l'avons vu avec le "principe" de NEWTON qui est une fausse interprétation "BINAIRE"de la Mécanique Universelle qui, elle, est établie dans la réalité, sur un Principe-Créateur qui est TERNAIRE, composé de TROIS éléments dont l'HARMONIE échappe à la physique.
Le photographe préfère-t-il un support instable à deux pieds pour son appareil, ou un support stable à trois pieds ?
AUTRES ELÉMENTS DE STABILITÉ DANS L'ATOME UNITAIRE
ET MAGNÉTIQUE HATEMIEN
Il faut donc trois pieds pour tenir debout. Et c'est le cerveau de l'homme, troisième pied, qui le lui permet.
Dans la Mécanique Universelle, il faut aussi un cerveau ; mais il est purement mécanique.
Le premier mouvement tournant transforme d'emblée nos masses en GYROSCOPES : c'est-à-dire que les axes autour desquels ils tournent ne peuvent se déplacer que latéralement ou en suivant leur orientation, en restant toujours parallèles à eux-mêmes. Aussi, il est impossible de modifier l'orientation d'un axe gyroscopique, sinon par un effort supérieur à la résistance qu'il oppose à sa déviation.
De ce fait, les "cercles polaires" (nous entendons par là les cercles tracés autour des pôles magnétiques par l'axe de rotation, du fait de l'angularité entre axe des pôles et axe de rotation) se dessinent définitivement sans possibilité de modification possible pour toute la vie de la particule ou de la planète, puisque les pôles se déplacent en mouvement de manivelles autour de cet axe qui demeure inchangé, et du moins pour de très longues périodes.
Ceci conditionne la stabilité mécanique du système, et s'opposera à toutes déformations, car toute modification dans l'équilibre, par éloignement ou par rapprochement des particules ou des planètes, se traduira par une réaction instantanée pour le rétablir.
En effet, tout éloignement ou tout rapprochement provoquera des déviations angulaire des positions des pôles entre le proton et les électrons.
Ici encore, cela se démontre très simplement ; le graphique permet de constater les déviations angulaires, et une étude assez subtile peut démontrer que lorsqu'un Electron s'éloigne inopinément du Proton, l'attraction AUGMENTE et la répulsion DIMINUE, ce qui ramène le satellite sur son orbite.
Et bien entendu, lorsque l'Electron est poussé par force centripète ou par pression vers le centre, il tente au maximum de revenir sur son orbite par diminution de l'attraction, et par augmentation de la répulsion.
Grâce à cela, les particules atomiques comme les planètes, se tiennent en cohésion, quel que soit le nombre de leurs éléments constitutifs.
Nous découvrons dans ce phénomène, la nécessité absolue de la Dualité Magnétique attractive et répulsive dans les masses quelles qu'elles soient. Et cela démontre que la matière est d'une très grande "intelligence" qui ne saurait exister dans un système newtonien, et d'autant plus, en équilibre accidentel, où les masses sont exclusivement en attraction sans répulsion.
Car la répulsion entre protons qui seraient réunis au centre et formant noyau, de même que la répulsion des électrons entre eux, ne pourraient que détruire l'atome plutôt que le construire et lui assurer longue vie. Et les mathématiques n'ont rien à faire dans ce genre d'équilibre instable.
Il est vrai qu'avec les chiffres, on peut faire tenir une bille en équilibre
sur une autre bille pour l'éternité. C'est ce qui donne à penser que les satellites artificiels sont en orbite pour des temps infinis.
Voici donc très résumé, le fonctionnement "superficiel" d'un atome ou d'un système planétaire ou galactique, mais le Principe-Créateur est un énorme monument qui demande près de 200 pages de diverses précisions pour rendre compte du mécanisme complet de l'ensemble.
On pourrait ainsi expliquer pourquoi les satellites se maintiennent sur un plan de l'Ecliptique, et de même expliquer la formation et la forme des galaxies simples et spirales. De même pourquoi la Lune montre toujours la même face à la Terre. (Vous aimeriez savoir ?)
C'est très simple. La Terre est un "dipôle" pourvu de sa double polarité,
ainsi que la Lune.
Mais GALILEE s'est aperçu que si elle ne tourne pas sur elle-même, elle se balance en mouvement "libratoire" sur son axe.
Partant de cela, il est facile de comprendre que lorsque la Terre entraînée en rotation avec toutes les masses de la galaxie, en 24 heures, présente alternativement l'un de ses pôles à la Lune qui passe au même méridien toutes les 24 heures 50.
Et alors ? Eh bien, lorsque la Terre présente l'un de ses pôles au pôle opposé de la Lune, celle-ci amorce un léger mouvement d'approche des pôles. Mais comme l'axe de rotation lunaire est très proche de son axe polaire, retenue par son inertie, elle n'a pas le temps de tourner de plus de quelques degrés avant que la Terre, au bout de 12 heures 25 minutes, ne lui présente son autre pôle.
Et ainsi, au lieu de tourner, elle revient sur elle-même pour se mettre en accord avec le pôle correspondant de la Terre, de sorte qu'elle nous montre toujours la même face en se balançant.
Ici aussi, le phénomène gyroscopique joue un rôle considérable. L'attraction seule ne pourrait jouer aucun rôle dans le phénomène gyroscopique d'une planète ou dans le "spin" d'une particule atomique ; mais la science reconnaît qu'il joue cependant un rôle important. C'est donc bien que toute particule est un "dipôle".
QUAND LA PHYSIQUE RENCONTRE L'HYPERSCIENCE
Au cours des quelques années qui ont suivi les grandes découvertes de Léon Raoul et Frank HATEM (la "Dégravitation" en 1955 et l'origine de l'esprit en 1985) qui sont à la base du concept d'Hyperscience, il y a eu des tentatives passionnantes de rencontres entre la Physique et la Métaphysique, encore récemment à Aix en Provence en octobre 95, sur le thème "NOS PENSEES CREENT-ELLES LE MONDE", et à l'Ile de La Réunion (29 et 30 octobre 1994) lors d'un colloque organisé par l'INDRAH de Yolande et Mickael BESSON sur le thème "L'HOMME, ENTRE SCIENCE ET RELIGION" avec notamment Michel SCHIFF et le Dr Hubert LARCHER qui a qualifié cette rencontre exceptionnelle avec de grands hommes de religion, de "digne continuation du Colloque de Cordoue".
Merci également au Dr Jean ITHURRIAGUE, Président du Centre d'Etudes et de Recherches Macrobiotiques et à Jacques MITTLER (responsable du Club de Métaphysique d'Annecy à l'époque) d'avoir organisé le colloque "DE LA SCIENCE A LA CONSCIENCE" le 27 février 1994 à Paris avec des physiciens et des métaphysiciens de haut niveau. Le physicien Léon GEERINCKX également, a souvent organisé des rencontres afin d'aboutir à cette reconceptualisation de la connaissance. Un jour on reconnaîtra l'importance de ces tentatives.
Enfin et surtout, le IIIe Congrès de Métaphysique en France organisé par l'Académie de la Rozeille en mai 1992 à Paris sur le thème : "LA SCIENCE DÉCOUVRE L'ESPRIT, CRÉATEUR DE L'UNIVERS" avait réuni vingt scientifiques et métaphysiciens dans une ambiance absolument extraordinaire et à un niveau de travail rarement égalé (on peut se procurer les Actes de ce colloque aux Editions GANYMEDE).
(Si vous voulez être tenu au courant des activités dans ce domaine, restez fidèle à notre agenda en cliquant vers le site conférences.
Ces précieuses tentatives de rapprochement font figure aujourd'hui de véritables "jalons pour une nouvelle Ère scientifique Ceux des physiciens qui ont compris, ou qui ont étudié de près l'Hyperscience, le reconnaissent : "vingt ans d'avance sur la Physique quantique. Mais on ne peut rien faire, car la Communauté scientifique aujourd'hui ne peut négocier des virages aussi abrupts".
Pourtant, le désarroi des physiciens est grand : d'une part, il est démontré par la Physique Quantique elle-même que l'expérimentation est devenue le contraire de la preuve (l'intention de l'expérimentateur déterminant le résultat de l'expérience), ce qu'Aurobindo avait déjà expliqué d'ailleurs en son temps ("l'expérimentation ne peut prouver qu'une chose : nos habitudes mentales "). Malgré tout, l'épistémologie physicienne règne, et la théorie du Big Bang, considérée comme tout aussi scientifique, est en contradiction totale avec la Physique quantique, la première (big bang) disant que l'esprit vient de l'évolution de la matière, la seconde (quantique) que la matière n'existe pas sans l'esprit ! La grande réunification n'est pas pour demain. Il faut autre chose.
Il reste trois obstacles importants à résoudre conceptuellement avant que toute la Science puisse devenir l'Hyperscience. Tant que l'avancée ne sera pas faite dans ces sens, il ne faudra pas s'attendre à ce que la raison l'emporte.
1°) LA PHYSIQUE CONFOND LA CAUSE ET L'EFFET.
Pour la Physique, les termes-mêmes de "cause" et d"effet" sont vides de sens : du fait que seules les apparences semblent avoir une réalité, elle estime que les causes sont parmi les effets et que tout effet est une cause. Bien qu'elle se veuille aujourd'hui utilitariste et non explicative, la Physique est toujours dominée par la nécessité de comprendre, et lorsqu'elle a besoin d'une cause, elle cherche dans les effets, et de préférence dans le passé des choses. Ainsi, on confond cause et origine, cause et histoire.
La cause d'une chose n'est pas du tout son origine (dans le temps), ce n'est pas non plus son facteur déclenchant, ce n'est même pas un faisceau de conditions extérieures. La cause d'une chose, c'est son BUT : pour réaliser telle nécessité, il faut passer par toutes les étapes séparant un état d'un autre (différence de potentiel ou différentiel de conscience), et c'est cela qui est la SOURCE D’ÉNERGIE susceptible de créer des effets. Rien ne peut s'avérer sans but.
LA NOTION D'EXPLICATION N'EST DONC PAS LA MEME. Une cause n'a strictement rien à voir avec un effet. Aucun effet n'est une cause. Tout effet, c'est-à-dire tout phénomène observé, est une illusion créée par la cause, par le but à atteindre. L'effet n'est qu'une CREATION, et à ce titre, il est PASSE. Ce passé n'existe pas réellement, et n'a strictement aucun pouvoir créateur. Il n'est pas une énergie. Il est, lui, un fantasme.
Au contraire, ce qui est créateur, c'est la nécessité du but, et cette nécessité n'en est une que dans le PRÉSENT. C'est le présent qui est le créateur, et si la cause n'était pas présente (même si cela est ressenti comme la poursuite d'un objectif futur), l'effet (donc création passée) ne serait pas visible dans le présent non plus. Il ne peut y avoir effet apparent que si cette illusion est nécessaire à la réalisation du but poursuivi dans le présent. La perception du passé se fait toujours dans le présent, parce que cela est nécessaire à l'entretien de la conscience.
Par conséquent, pour le métaphysicien, comprendre la cause des choses suppose qu'on en comprenne le BUT. Et cela ne se fait pas en étudiant le passé ou les phénomènes, mais en étudiant le présent. Le présent de l'être, pas le présent. Des effets, ils n'en ont pas, et ne sont que ce qu'on leur demande d'être. Ce qui est est la nécessité du néant et rien d'autre, toutes les autres causes lui sont subordonnées. Ainsi, en démontrant que le Tout est forcément nul, ce qui est de la plus grande simplicité, on explique véritablement la cause de toute l'illusion énergétique universelle.
Pour le physicien, cela n'est pas une explication puisque le but n'est pas observable et donc n'est pas objet d'étude. Expliquer c'est donc simplement décrire comment la nature passe d'un état à un autre. La question "pourquoi" devient sans objet. On peut remarquer au passage qu'évacuer l'essentiel de la question à résoudre est une attitude difficilement défendable qui équivaut à un reniement de l'esprit.
2°) LA MODÉLISATION MATHÉMATIQUE N'EST PAS INDISPENSABLE
Le réel ne se prête pas à la modélisation mathématique car rien n'y est jamais statique, et rien n'y possède de mouvement : c'est le mouvement lui-même qui est les choses. Rien, en fait, n'est mesurable et tout s'avère infini. Beaucoup se sont employés à chercher des modélisations mathématiques, de la "Dégravitation" par exemple, ou de l'esprit, sans succès. C'est un obstacle à la communication entre sciences, mais qu'importe ? L'important n'est pas de jauger la scientificité à l'aulne de la Mathématique, ce qui est trop facile vu que les Mathématiques ne sont nullement fondées métaphysiquement et sont donc toujours conditionnelles, l'important est de comprendre. Et pour cela, aucune mathématique n'est nécessaire. C'est même un obstacle. A partir du moment où la modélisation est possible, on peut être certain que cela n'a plus grand chose à voir avec la réalité.
Les Mathématiques n'ont pris leur place croissante dans les sciences qu'au rythme où ces sciences devenaient incompréhensibles au commun, et de plus en plus éloignées de la réalité. Mais le but n'est pas de s'éloigner de la réalité. Là encore, dans les domaines techniques, les Mathématiques sont indispensables. Mais la technique est à l'opposé de la science, comme le pouvoir est à l'opposé de la Connaissance.
3°) L'ATOME QUANTIQUE SEMBLE CONTREDIRE L'ATOME HATEMIEN.
Du fait que le physicien quantique cherche la réalité présente des effets, ce qui est vide de sens, il se trouve confronté à l'incompréhensible. La cause n'est nulle part dans les effets, qui tous sont issus d'une cause commune.
Lorsque le modèle de l'atome magnétique est présenté à des physiciens, en général ils estiment que nous retournons au moyen-âge de la Science, lorsqu'on croyait que les atomes fonctionnaient sur le même modèle que les étoiles et planètes. Aujourd'hui, les expérimentateurs observent un atome qui n'est pas constitué de particules, dont les particules ne sont pas en mouvement, ne sont pas "quelque part", ne se déplacent pas. Tout simplement du fait que pour percevoir une particule atomique, il faut l'intercepter. Il faut en interrompre le mouvement éventuel. On ne peut donc pas mesurer sa vitesse, car dans l'instant, elle n'en a pas. On ne peut donc pas prédire non plus ses positions futures en fonction de ses positions du moment, contrairement aux systèmes planétaires qu'on peut observer dans leur mouvement.
Evidemment, lorsqu'on observe le présent de la particule, on n'y trouve aucune matière, on n'y trouve que des comportements proches de l'esprit : omniprésence (particule à plusieurs endroits en même temps), omnipotence (influence ou communication immédiate à distance entre les particules), et bientôt sans doute omniscience (information holographique, tout est lisible dans tout). Ce sont là les observations des chercheurs, qui leur font dire : "votre atome est trop matérialiste, avec vos particules sphériques, délimitées, petits aimants bipolaires qui tournent sur eux-même et autour des noyaux comme on pouvait l'imaginer dans l'antiquité. Cela est un mythe puisque l'observation montre le contraire !"
Evidemment cette observation-là montre le contraire, tout comme l'étude du Soi dans le présent aboutit à la rencontre du néant. Mais l'intérêt de la Physique, c'est de décrire et d'expliquer les phénomènes physiques, pas les "phénomènes" métaphysiques. Et c'est ce que fait notre atome : il explique l'ILLUSION matérielle de l'atome, dans le temps et l'espace, non dans le présent, et c'est cela qui permet de rendre compte des phénomènes macroscopiques. Alors que l'instant présent de la particule, donc hors du temps et de l'espace, certes peut être intéressant, mais relève plus de la Métaphysique que de la Physique. C'est vain en l'absence de la connaissance a priori de l'origine des phénomènes. Et la complexité des équations mathématiques quantiques vient du fait que l'on veut faire cadrer des observations relevant du domaine de l'invisible (à l'envers du réel habituel) avec des notions mathématiques régies par des concepts matérialistes.
Un jour on comprendra l'erreur et on appliquera à chaque domaine la science qui lui convient. En tout cas, dès à présent, vous savez, vous, pourquoi l'atome magnétique existe et comment il peut engendrer les phénomènes physiques, et vous savez aussi pourquoi chaque fois qu'on cherchera à l'intercepter dans sa course pour le photographier, on ne verra que des réalités qui n'ont plus rien ni de magnétique ni de corpusculaire, et il sera facile d'évacuer la théorie HATEM.
On ne peut pas à la fois refuser les causes et étudier le présent, c'est contradictoire. Le seul moyen de regarder un atome c'est de regarder dans le ciel, puisque le ciel et tout l'univers constitue tout mon être. N'est-ce pas là le rôle qu'on attribue aux atomes ? Essayons de voir UN là où on voyait deux, au lieu de vouloir absolument entretenir le conflit entre les sciences, celle de l'intérieur (infiniment petit) et celle de l'extérieur (infiniment grand). Cela ne fait que transcrire le conflit intrinsèque à l'homme qui se cherche en voulant surtout ne pas se trouver.
Avec nos amitiés.